Giuseppa : accusée de profiter de Paga, elle prend la parole

Giuseppa : elle répond à ceux qui l’accusent de profiter de Paga

La relation entre Paga et Giuseppa n’est pas vu d’un très bon œil par les internautes. En effet, ils sont beaucoup à penser que ce couple est monté de toutes pièces. D’ailleurs, les blogueurs sous-entendent régulièrement que Giuseppa serait avec le Marseillais uniquement dans l’espoir de gagner en popularité et en abonnés (notamment grâce à sa nouvelle amitié avec Carla et Kevin).

Des critiques qui l’agacent de plus en plus. Sur les réseaux sociaux, Giuseppa Ciurleo a décidé de prendre la parole, une bonne fois pour toutes. « Je reçois beaucoup de message de personnes qui me disent que je suis dépendante de Paga, parce que je vis chez lui et qu’il m’offre plein de cadeaux, commence-t-elle. Comme si je n’avais pas les moyens d’être indépendante ! J’ai besoin de Paga car c’est l’homme que j’aime. Si je ne suis pas avec lui, je suis malheureuse et pas pour ce qu’il m’apporte« .

Giuseppa : elle se fiche des critiques sur sa différence d’âge avec Paga

La jeune femme qui pourrait bien fonder une famille prochainement rappelle qu’elle vit désormais avec son compagnon. « Oui, on vit ensemble, mais chez lui c’est chez moi et chez moi c’est chez lui. Quand on est en couple, on ne compte pas les courses ni le loyer. Peut-être qu’on fait moitié-moitié, vous ne savez pas ! ».

Et comme si ce n’était pas déjà assez, les internautes aiment bien lui rappeler sa différence d’âge avec Paga. Et oui, près de dix ans séparent les deux candidats. À l’instar d’Adixia et Simon Castaldi, Giuseppa et Paga sont régulièrement taclés à ce sujet. Et le couple s’y attendait. (D’ailleurs, en parlant d’Adixia, Maeva Ghennam estime que Paga ne l’oubliera jamais.)

En effet, Giuseppa poursuit : « On s’y attendait, mais on s’en fiche. Il n’y a pas de loi, pas de règle en amour ! Ça ne se contrôle pas. Vous n’êtes pas dans notre intimité ! Il n’y a pas de problèmes. Il faut arrêter de dire des trucs qui n’ont aucun sens ». Voilà qui est dit.