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Covid-19 : Gabriel Attal annonce que le pass sanitaire sera encore nécessaire après le 15 novembre

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Le fameux pass sanitaire, on l’entend résonner dans nos oreilles tous les jours : quand on va au restaurant, au cinéma, à la médiathèque, au bar, dans les lieux de culte. On vit maintenant avec et il devient un automatisme, pour ceux qui sont vaccinés en tous cas.

 

Gabriel Attal annonce qu’une adaptation du pass n’est pas envisagée avant le 15 novembre

« Le Conseil scientifique préconise plutôt des mesures nationales, mais par secteurs« , a indiqué le porte-parole du gouvernement ce jeudi 7 octobre à la sortie du conseil sanitaire de Défense, précisant que certains départements dont l’Aude restaient sous étroite surveillance. La levée du pass sanitaire ou de certaines restrictions seraient donc possible à l’avenir, mais se ferait par région, en fonction de la circulation du Covid-19. « Nous devons la vérité aux Français : l’heure de lever les contraintes n’est pas venue. Dans beaucoup de départements, l’épidémie ne recule plus et la situation interpelle dans plusieurs départements, dont les Pays de la Loire et l’Aude« , a-t-il annoncé en début de discours.

 

 

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L’hiver annonce probablement une reprise de l’épidémie

Les virus de manière générale ont en effet tendance à mieux circuler en hiver, avec le froid. Supprimer le pass sanitaire serait donc une très mauvais idée. Le ministre de la Santé, Olivier Véran, avait demandé il y a quelques jours au conseil scientifique d’étudier la possibilité d’un allégement ou d’une localisation de l’utilisation du pass sanitaire. « Dès que ce sera possible, nous allégerons les mesures. Le Conseil scientifique a rendu son avis. Il nous appelle à une certaine prudence avec l’approche de la période hivernale. Une adaptation du pass n’est donc pas envisagée avant le 15 novembre » a expliqué Gabriel Attal.

Il rappelle, en parallèle, l’importance de continuer les gestes barrières mais surtout de se faire vacciner pour lutter contre l’épidémie de coronavirus. « Sur 4,5 millions de personnes éligibles, environ 1,5 million ont fait leur dose de rappel. Ce n’est pas encore assez« , pointe le porte-parole du gouvernement. Il encourage donc ceux qui n’ont pas fait leur deuxième dose, de rendez rendez-vous sur Doctolib. 

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Actuellement, une soixantaine de départements satisfont pourtant aux taux d’incidence minimum annoncés il y a quelques semaines par le gouvernement. « Nous regardons aussi la situation de la couverture vaccinale. Nous ne sentons pas d’urgence de la part des Français à supprimer le pass sanitaire. Ils se sont approprié l’outil qui nous a permis de conserver beaucoup de lieux ouverts« . Pour le moment, la priorité ne serait donc pas de supprimer ce fameux pass sanitaire mais de se contenter de vivre avec.

 

Les soignants doivent recevoir une troisième dose

La troisième dose de vaccin est ouverte aux soignants, « le Conseil de défense a décidé de suivre la recommandation de la HAS, qui autorise la campagne de rappel vaccinal pour le personnel soignant. J’appelle toutes les personnes éligibles à faire rapidement leur dose de rappel« , a indiqué sur Twitter, Olivier Véran, le ministre de la Santé.

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