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Luna Skye victime de « plusieurs pathologies » après avoir frôlé la mort : les séquelles de son calvaire

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L’ancienne candidate des « Marseillais » a accordé un entretien à « ELLE ». L’occasion pour Luna Skye de revenir sur le cauchemar qu’elle a vécu à la suite de ses injections de HYAcorp. Elle a également dévoilé ses séquelles physiques et psychologiques.

Elle pensait gommer un complexe sans difficulté en ayant recours à des injections de HYAcorp, dans le but d’avoir un fessier plus galbé sans avoir recours à la chirurgie esthétique. Mais sa vie s’est transformée en véritable cauchemar peu de temps après. Un calvaire sur lequel Luna Skye s’est confiée auprès de ELLE.

L’ancienne candidate de télé-réalité âgée de 26 ans a perdu beaucoup de poids au printemps dernier. Ne se sentant pas bien dans son corps et n’ayant pas la force de se remettre au sport, elle a opté pour le HYAcorp après avoir rencontré un célèbre chirurgien connu dans le monde de la télé-réalité. Il venait de faire des injections à l’une de ses amies et avait plus de produit que prévu. Il lui a donc parlé de sa méthode, des explications qui ont convaincu Luna Skye de passer à l’acte. « Je comprends que c’est une solution rapide, invasive, parfaite pour récupérer le galbe de mes fesses. Je ne vois pas le danger. On ne me l’explique pas non plus. Je ne signe aucun papier. On ne me parle pas des effets secondaires ni des complications possibles. Au contraire, on me promet une intervention sans risque« , a-t-elle expliqué à ELLE.

Ainsi, l’ancienne compagne de Paga s’est fait injecter 40 seringues par fesse, pour la somme de 7 500 euros. Un résultat dont elle était satisfaite. Mais un mois après son intervention, Luna Skye a commencé à sentir des effets indésirables. Elle a en effet ressenti « des douleurs dans tout le corps« , une fatigue anormale, puis des tâches rouges au niveau des fesses. Inquiète, elle a appelé son chirurgien qui lui a prescrit des antibiotiques car selon lui, elle faisait une érysipèle (une infection bactérienne caractérisée par une inflammation de la peau). Mais son infection revenait sans cesse quand elle arrêtait le traitement, une fois de retour à Los Angeles (où elle réside). A cela s’ajoutait une « fièvre intense pendant plusieurs jours« .

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« Je faisais des allers-retours à l’hôpital. La plupart du temps, je m’évanouissais sur le parking. Je me souviens de m’être réveillée au bloc avec plusieurs médecins qui hurlaient. J’entendais : ‘Mettez-lui plus de morphine’, et de l’autre côté : ‘Elle est déjà au max, on passe à la kétamine.’ C’était un cauchemar. À mon réveil, j’ai cru que j’étais morte« , a poursuivi Luna Skye qui a développé une septicémie. Les médecins ne savaient malheureusement pas comment la guérir. Elle était ainsi devenue leur cobaye. Et au fil du temps, elle a fini par devenir dépendante aux anti-douleurs.

Luna Skye sauvée en France

Luna Skye a fini par être rapatriée en France en décembre dernier, après trois mois d’hospitalisation et un séjour en réanimation. Elle a été admise à l’hôpital Tenon dans un piteux état. « Quand je suis arrivée, j’étais dénutrie, mes muscles étaient atrophiés. Je ne pouvais plus m’assoir ni marcher. J’étais un cas d’école pour ce spécialiste. J’ai subi une première opération où il a placé des canules afin de casser les billes d’acide hyaluronique. Malheureusement, il restait encore des résidus. Il a fallu faire une deuxième opération en service intensif. Aujourd’hui, j’ai six grosses mèches de chaque côté de la fesse. C’est un système qui permet aux infirmières de procéder à des irrigations et des lavages« , a-t-elle précisé.

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Le cauchemar s’est arrêté fin janvier, avec sa sortie de l’hôpital. Elle a souligné que le médecin qui l’a prise en charge lui a sauvé la vie. Si elle est à priori sortie d’affaire, ce cauchemar a eu des conséquences sur le quotidien de Luna. En plus de voir son corps déformé, elle a « développé plusieurs pathologies« . « Je suis devenue agoraphobe par exemple. Je fais de nombreuses crises d’anxiété. Je dois faire de la rééducation pour réapprendre à marcher. Si j’en parle aujourd’hui, c’est pour ne plus que ça recommence. En tant qu’influenceuse, j’ai le devoir de transparence« , a-t-elle conclu.

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