Connect with us

People

Marina Foïs avoue avoir souffert de dysmorphophobie : « C’est très compliqué… »

Published

on

En plus d’être omniprésente dans les programmes de nos salles de cinéma, Marina Foïs est en couverture du magazine « Marie Claire » du mois de mars 2022. La comédienne a pourtant mis longtemps à accepter son apparence…

Son visage est partout. Prochainement à l’affiche du film Ils sont vivants, de Jérémie Elkaïm, Marina Foïs est sur tous les fronts. On l’a vue présenter la 46e cérémonie des César l’année dernière. Elle enchaîne les rôles et les apparitions, notamment lors de la Fashion Week de Paris. Depuis l’époque des Robins des bois, la comédienne de 52 ans est devenue une référence du cinéma français, tout comme une icone de mode. C’est d’ailleurs Nicolas Ghesquière, le directeur artistique des collections femmes de Louis Vuitton, qui l’habille dès qu’elle en a besoin, mais qui est également son ami, son conseiller, son confident.

Etre une actrice, c’est très compliqué

Un tel statut aurait sans doute surpris Marina Foïs, si on l’avait évoqué avec elle plus tôt dans sa vie. Adolescente, l’actrice souffrait de dysmorphophobie, trouble dont elle s’est peu à peu débarrassée grâce à ses rôles, mais aussi grâce à la psychanalyse et « aux hommes qui l’ont aimée » : « J’ai été une femme tard. Je le suis devenue grâce au père de mes enfants [son ancien compagnon Eric Lartigau, NDLR] et grâce à Nicolas Ghesquière, explique-t-elle dans les colonnes du magazine Marie Claire. et son édition du mois de mars 2022. Etre une actrice, c’est très compliqué, on est cernée par l’image de soi. L’apparence est au coeur de mon métier, mais aussi de la vie des femmes de nos jours plus que jamais. »

Lire Aussi  Slimane très inquiet pour sa maman qui devient aveugle : "Ça bouleverse..."

Aujourd’hui, Marina Foïs accepte bien plus volontiers le reflet qui s’affiche dans le miroir. Selon les jours, les humeurs et les looks. La comédienne a récemment dû couper ses cheveux très courts pour obtenir un rôle dans un film et elle avoue bien volontiers avoir « beaucoup pleuré » à cause de cette contrainte capillaire. Le tournage de ce long-métrage vient à peine de s’achever en Espagne. Il est donc temps de faire le plein de levure de bière et d’huile de ricin…

Retrouvez l’interview intégrale de Marina Foïs dans le magazine Marie Claire, n°834, du mois de mars 2022.

Á La Une