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Brigitte Macron et la rumeur transphobe : la première dame attaque deux femmes en justice !

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Victime pendant plusieurs semaines d’une odieuse campagne transphobe sur les réseaux sociaux, Twitter en tête, la première dame Brigitte Macron a décidé de ne pas laisser passer cela. Ainsi, elle a choisi de faire appel à la justice et deux femmes sont dans son viseur.

Ne jamais s’habituer à la violence des réseaux sociaux. Outre la lutte contre la haine en ligne, avec des personnalités qui saisissent désormais les tribunaux pour faire tomber des sanctions, il y a aussi la lutte contre les fake news. Brigitte Macron en a été l’une des victimes et ne compte pas se laisser faire.

Ces derniers mois, la Toile était régulièrement l’arène d’une vilaine rumeur totalement infondée sur la supposée identité de genre de la première dame. Des messages qui clamaient que Brigitte Macron, née Trogneux, serait en réalité une femme transgenre dont le prénom de naissance était Jean-Michel ! Rien que ça… Un vaste complot serait à l’oeuvre pour masquer ce changement d’état civil, à en croire cette fake news qui s’est également déclinée en accusations, plus graves, de pédo-criminalité portées contre la première dame, souligne l’AFP.

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Si, dans un premier temps, Brigitte Macron avait gardé le silence face à cette rumeur transphobe, elle a depuis décidé de faire appel à la justice. L’épouse du président de la République – qui tarde à officialiser sa candidature à un second mandat – a assigné devant le tribunal judiciaire de Paris deux femmes ayant propagé sur Internet de fausses nouvelles prétendant qu’elle était une femme transgenre, affirme l’AFP, de source judiciaire en confirmant une information de M6. Une première audience a été fixée au 15 juin devant la 17e chambre du tribunal de Paris. L’action civile, sur le fond, menée par l’épouse d’Emmanuel Macron s’appuie sur le fondement des dispositions du code civil relatives à la vie privée, a indiqué cette source judiciaire.

Les deux femmes assignées par Brigitte Macron se présentent comme une médium et une journaliste indépendante. Elles avaient largement contribué à relayer la rumeur et avaient diffusé sur la chaîne YouTube de la médium, le 10 décembre 2021, des photos de la première dame et de sa famille. Selon M6, les trois enfants de Brigitte Macron ainsi que son frère se sont joints à cette assignation notamment pour des faits d’atteinte à la vie privée, atteinte au droit de la personnalité, violation du droit à l’image.

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