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Disparition de Delphine Jubillar : Cédric maltraité en prison ? Il se victimise lors de son expertise

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Depuis le mois de juin 2021, soit six mois après la disparition de Delphine Jubillar, son mari – avec qui elle était en procédure de divorce et qui est le dernier à l’avoir vue vivante – est incarcéré dans la maison d’arrêt de Toulouse-Seysses en Haute-Garonne. Les révélations de son expertise psychiatrique montrent notamment son état d’esprit derrière les barreaux.

La personnalité complexe et insaisissable de Cédric Jubillar a fait l’objet d’une récente expertise dans l’enquête sur la disparition de son épouse Delphine, lui qui est le suspect numéro, actuellement en détention provisoire à Toulouse-Seysses depuis le mois de juin 2021. Le Parisien en dévoile des extraits exclusifs afin d’apporter des éclairages sur ce dossier sans aucune trace de l’infirmière de Cagnac-les-Mines depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020.

Dans l’expertise psychiatrique qui s’est déroulée en deux parties le 1er juillet puis le 6 octobre et dont les résultats ont été versés le 4 avril au dossier judiciaire, le peintre-plaquiste de 34 ans revient notamment sur son vécu en prison. Selon lui, les surveillants sont « injustes et méprisants« . « Ils vont me pousser au suicide« , souffle-t-il en évoquant les contrôles qui sont effectués la nuit, lumière allumée. Cédric reconnaît sans difficulté son addiction au cannabis, chiffrant sa consommation entre « dix et vingt-cinq joints par jour » mais déclare résister à la brutalité du sevrage. En effet, il affirme se battre mentalement contre le manque de THC (le principe actif du cannabis) : « Tout se passe dans la tête, il faut se fixer des objectifs, c’est le mental, il faut garder la tête haute…« 

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Pour le père des deux enfants – Louis et Elyah – de la trentenaire très aimée par sa famille et ses amies, il est « maltraité » par les forces de l’ordre. « Les gendarmes ont maquillé les preuves. On me considère comme le coupable parfait (…) Je suis innocent, j’ai plein d’hypothèses… Pour eux [les juges et les gendarmes], j’avais de fortes présomptions que [Delphine] me trompait et je n’aurais pas accepté un divorce à l’amiable si je l’avais su« . Il est prêt à faire une grève de la faim si sa nouvelle demande de libération est refusée. Cela fait écho à la comparaison qui l’avait mise hors de lui : celle avec Jonathan Daval, meurtrier de sa femme Alexia, et que des gendarmes avaient pu faire. Pour la défense de l’artisan, on cherche avec leur client « un nouveau Daval« , indiquait Femme actuelle. L’auteur du Mystère Jubillar et également journaliste du Parisien Ronan Folgoas avait également recueilli le témoignage d’un de ses voisins de cellule qui le décrivait comme un homme « très narcissique« .

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Si l’expert souligne lui aussi l’égo surdimensionné de l’homme et son passé marqué les coups de son beau-père, il estime que le suspect numéro 1 est « bien accessible à une éventuelle sanction pénale et qu’il n’était atteint d’aucun trouble psychique ayant aboli son discernement au moment des faits« .

Cédric Jubillar reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire.

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Depuis le mois de juin 2021, soit six mois après la disparition de Delphine Jubillar, son mari – avec qui elle était en procédure de divorce et qui est le dernier à l’avoir vue vivante – est incarcéré dans la maison d’arrêt de Toulouse-Seysses en Haute-Garonne. Les révélations de son expertise psychiatrique montrent notamment son état d’esprit derrière les barreaux.

La personnalité complexe et insaisissable de Cédric Jubillar a fait l’objet d’une récente expertise dans l’enquête sur la disparition de son épouse Delphine, lui qui est le suspect numéro, actuellement en détention provisoire à Toulouse-Seysses depuis le mois de juin 2021. Le Parisien en dévoile des extraits exclusifs afin d’apporter des éclairages sur ce dossier sans aucune trace de l’infirmière de Cagnac-les-Mines depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020.

Dans l’expertise psychiatrique qui s’est déroulée en deux parties le 1er juillet puis le 6 octobre et dont les résultats ont été versés le 4 avril au dossier judiciaire, le peintre-plaquiste de 34 ans revient notamment sur son vécu en prison. Selon lui, les surveillants sont « injustes et méprisants« . « Ils vont me pousser au suicide« , souffle-t-il en évoquant les contrôles qui sont effectués la nuit, lumière allumée. Cédric reconnaît sans difficulté son addiction au cannabis, chiffrant sa consommation entre « dix et vingt-cinq joints par jour » mais déclare résister à la brutalité du sevrage. En effet, il affirme se battre mentalement contre le manque de THC (le principe actif du cannabis) : « Tout se passe dans la tête, il faut se fixer des objectifs, c’est le mental, il faut garder la tête haute…« 

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Pour le père des deux enfants – Louis et Elyah – de la trentenaire très aimée par sa famille et ses amies, il est « maltraité » par les forces de l’ordre. « Les gendarmes ont maquillé les preuves. On me considère comme le coupable parfait (…) Je suis innocent, j’ai plein d’hypothèses… Pour eux [les juges et les gendarmes], j’avais de fortes présomptions que [Delphine] me trompait et je n’aurais pas accepté un divorce à l’amiable si je l’avais su« . Il est prêt à faire une grève de la faim si sa nouvelle demande de libération est refusée. Cela fait écho à la comparaison qui l’avait mise hors de lui : celle avec Jonathan Daval, meurtrier de sa femme Alexia, et que des gendarmes avaient pu faire. Pour la défense de l’artisan, on cherche avec leur client « un nouveau Daval« , indiquait Femme actuelle. L’auteur du Mystère Jubillar et également journaliste du Parisien Ronan Folgoas avait également recueilli le témoignage d’un de ses voisins de cellule qui le décrivait comme un homme « très narcissique« .

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Cédric Jubillar reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire.

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