« Je sors du cimetière… » : Lââm anéantie par la mort de son mari, nouveaux messages inquiétants

Le 25 octobre 2021, la vie de Lââm prenait un triste tournant. Sur son compte Instagram, l’interprète de Petite soeur annonçait la mort de son mari Robert Suber, emporté par un cancer du pancréas : « Il est tombé malade le 20 août. Il est décédé le 25 octobre d’un cancer du pancréas. Dans une souffrance horrible que je ne souhaite à personne. On n’a rien compris, tout est allé si vite« , écrivait-elle pour déclarer sa peine. Après 25 ans de vie maritale avec lui, Lââm doit réapprendre à vivre seule. Un challenge qu’elle semble avoir de plus en plus de mal à surmonter d’après les messages qu’elle a postés sur les réseaux sociaux.

Ce lundi 25 juillet, Lââm s’est rendue sur la tombe de Robert Suber : « Déjà 9 mois, a-t-elle déploré en légende de clichés de la sépulture. Mon mari pour toujours. […] À la mémoire de mon cher époux. Tu me manques trop, je t’aime Boubou. » En étant privée de celui avec qui elle a passé plus de la moitié de sa vie, Lamia Naoui, de son vrai nom, broie du noie : « Je sors du cimetière. C’est la mort dans Lââm. »

Heureusement, l’artiste de 50 ans peut compter sur le soutien de nombreux fans pour tenter de lui remonter le moral : « Il est toujours près de toi dans ton coeur et veille sur toi de là-haut. Je t’embrasse tendrement », « Comme je comprends, pour moi cela fait 22 mois que mon mari est mort accidentellement. Je sais ô combien c’est difficile », « Je comprends ce que tu vis courage« , lit-on. Malgré tout le chagrin que Lââm ressent, elle semble remonter petit à petit la pente et rassurer sa communauté, inquiète de sa santé au cours des dernières semaines.

Alors qu’un internaute lui demandait d’arrêter « d’étaler son deuil sur les réseaux sociaux« , Lââm avait répondu : « C’est soit ça ou je me suicide. Soit je me jette par la fenêtre ou sous un train ou sous une voiture ou je me taille les veines avec une lame. Donc je préfère partager ma peine et faire vivre mon mari parce qu’il le mérite. » Un peu plus tard, nouveaux propos saisissants : « Non je ne vais pas bien, je n’irai plus jamais bien. Comme ça vous savez. Je mange pour oublier. Je ris pour survivre rien de plus. C’est mieux que les médocs ou le suicide. J’attends une crise cardiaque. Merci pour vos messages. Bises et bonne soirée. » Des posts supprimés depuis…