Mort de Michel Berger : ce top model avec qui il trompait France Gall…

Son nom est indissociable de celui de France Gall. Et pourtant, de son vivant, Michel Berger n’a pas aimé qu’une seule et unique femme. Le chanteur, disparu depuis 30 ans tout juste, le 2 août 2022, aurait d’ailleurs bien pu finir ses jours auprès d’une autre. Marié à l’interprète de Poupée de cire, poupée de son depuis l’année 1976, il aurait vécu une idylle avec une certaine Béatrice Grimm… et aurait même envisagé de tout plaquer pour s’installer, aux Etats-Unis, avec elle.

Il voulait tout simplement refaire sa vie avec elle, comme on l’apprenait pour la première fois dans l’ouvrage Michel Berger, l’étoile au coeur brisé de Grégoire Colard, attaché de presse de l’artiste, et Alain Morel, paru en 2010 aux éditions Flammarion. « Elle est alle­mande, top model, présen­ta­trice de talk show, grande avec son mètre 78 et très belle, mannequin à Paris, racontait-on, à son propos, dans les colonnes du journal Le Soir. Il la rencontre dans un dîner. Elle travaille pour une grande agence. Elle a eu une liai­son avec Timo­thy Dalton, le James Bond gallois, puis avec le rocker Billy Joël. Elle songe à enta­mer une carrière de chan­teuse. »

Beatrice tombe immédiatement sous le charme

C’est avec France Gall que Michel Berger a vécu, chanté et eu deux beaux enfants : Pauline Isabelle, née le 14 novembre 1978 – et morte le 15 décembre 1997 d’une mucoviscidose – et Raphaël Michel, né le 2 avril 1981. Quelques mois avant sa mort, l’artiste a toutefois craqué pour Béatrice Grimm et songeait à partir vivre, avec elle, dans une villa à Santa Monica. Il l’avait rencontrée en se rendant à Los Angeles pour travailler sur la version anglo-saxone de la comédie musicale Starmania et avait eu un coup de coeur face à son audition, lors des castings. « Beatrice tombe immédiatement sous le charme, explique Yves Bigot. Michel lui demande de chanter You’ve Got a Friend de James Taylor, en l’accompagnant au piano, et se fait lui aussi immédiatement happer. » Quelques mots d’amour, susurrés auprès de son instrument, auront donc suffit à faire vriller son coeur…