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Stéphane Bern : Vacances folles en amoureux, il fait tourner les serviettes avec son chéri Yori !

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C’est loin de la France que Stéphane Bern se repose, avec son compagnon Yori Bailleres, en attendant la rentrée. Comme tous les ans, l’animateur s’est rendu, en Grèce, sur l’île de Paros.

Il a toujours la tête plongée dans le travail mais quand c’est les vacances… c’est les vacances ! Pour profiter de quelques semaines de détente, et pour prendre le soleil loin de nos terres françaises, Stéphane Bern s’est envolé jusqu’en Grèce, sur l’île de Paros, en charmante compagnie. Son jeune compagnon, Yori Bailleres, l’a évidemment suivi afin de partager ce séjour en amoureux, et on peut dire qu’ils s’éclatent. Les tourtereaux ont même partagé une vidéo sur laquelle ils tournent les serviettes au rythme d’une musique hellénique. C’est Patrick Sébastien qui doit être vert de rage.

Sur son compte Instagram, Stéphane Bern a également publié une photographie sur laquelle il prend la pose avec son chéri, au bord de l’eau, alors que le soleil se couche. « Vacances à Paros avec mon roi de coeur, écrit-il, le 1er août 2022. Apéro sur le port de Naoussa. Vacances en amoureux mais aucune vacances dans l’amour… » C’est sans grande surprise, à vrai dire, que l’on retrouve Stéphane Bern sur l’île de Paros. Le présentateur n’est pas seulement propriétaire d’un ancien collège royal et militaire situé à Thiron-Gardais, dans l’Eure-et-Loir. Il dispose également d’une petite propriété en Grèce.

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En 2013, l’animateur star du 14 juillet expliquait effectivement qu’il avait eu un véritable coup de coeur pour l’île de Paros, ce paradis sur lequel il a l’opportunité d’être « l’inconnu du village » et dispose d’une « paix royale« . « Il y avait sur l’île une maison à vendre. Elle appartenait à un Suisse et ressemblait d’ailleurs à un chalet suisse. Je l’ai transformée peu à peu en une vraie maison cycladique traditionnelle, blanche aux volets bleus, racontait-il au journal Le Figaro. J’y suis très détendu. Je dis des conneries toute la journée. On rigole, on fait les fous. La seule chose pour laquelle il ne faut pas compter sur moi, ce sont les soirées. Je ne suis pas un fêtard. J’adore dîner, m’amuser, mais à 23h-minuit, je dis :’ Vous m’excusez, mais je monte me coucher’. Je me fais une citronnelle et au lit. » A part, bien sûr, quand il s’agit d’agiter des torchons…

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