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« Ça me donne envie de pleurer » : Isabelle Adjani ne valide pas (du tout) un choix son fils Gabriel Kane

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Isabelle Adjani s’est confiée dans les colonnes de « Nice Matin » ce jeudi 11 août. Notamment sur son fils Gabriel-Kane, né de son histoire avec Daniel Day-Lewis. Si la maman admire le chemin qu’il a déjà parcouru du haut de ses 27 ans, elle valide un peu moins certains de ses choix physiques.

Isabelle Adjani ne s’arrête jamais. La comédienne et chanteuse de 67 ans multiplie les projets ces derniers temps. De passage dans le Sud de la France, elle assurait encore une représentation de Vertige Marylin le 6 août dernier au théâtre de Verdure du Festival de Ramatuelle. Un rendez-vous pour lequel de nombreuses personnalités se sont réunies, parmi lesquelles le couple tout récent formé par Sophie Davant et William Leymergie. Entre la préparation de son prochain album, la promotion de Diane de Poitiers, téléfilm de Josée Dayan dans lequel elle donne la réplique à Gérard Depardieu et ses montées sur scène, la clôture du Festival Pierre Lacoste notamment, Isabelle Adjani a trouvé le temps d’accorder une interview à Nice Matin, dévoilée ce jeudi 11 août.

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Isabelle Adjani s’est confiée comme rarement au sujet de son fils Gabriel-Kane, qu’elle a eu avec le comédien britannique Daniel Day-Lewis. Si du haut de ses 27 printemps, le mannequin et musicien est libre de ses choix, cela n’empêche pas sa célèbre maman de ne pas tous les valider. Il y a un détail physique qu’elle a d’ailleurs en horreur chez lui : ses tatouages.

Interrogée sur le sujet dans les pages du quotidien, Isabelle Adjani n’a pas caché regretter que Gabriel-Kane y ait eu recours : « Ne m’en parlez pas, ça me donne envie de pleurer, déplore-t-elle. J’accepte ceux de mon fils comme une maman résignée, mais cet engouement générationnel qui touche aussi des gens qui n’ont plus 20 ans me désespère et me bouleverse. » Pour Isabelle Adjani, la peau, c’est sacré : « Sans jugement moralisateur, la peau est pour moi un organe et cet encre que l’on loge sous la peau pollue l’organisme. La peau reflète aussi la lumière d’un être. L’obscurcir me déconcerte. L’autre fois, j’ai vu quelqu’un qui s’était fait tatouer le blanc des yeux. J’en ai pleuré. »

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Cette folie du tatouage, Gabriel-Kane la tient de son père, lui aussi tatoué presque de la tête aux pieds. En 2016, le fils d’Isabelle Adjani et Daniel Day-Lewis se confiait à Paris Match sur cette passion inarrêtable, au grand dam de sa maman : « Ma mère n’aime pas du tout ! Même mon père, qui pourtant en a plein, me dit de me calmer. A 21 ans, j’en ai déjà plus que lui qui en a 59. » S’il adore faire passer des messages au travers de ces dessins, Gabriel-Kane confiait également qu’ils permettaient de dépasser ses limites : « Parfois, je me fais tatouer dans des endroits où ça fait très mal. J’aime bien tester mon endurance à la douleur et aller au bout de ma résistance. Un tatouage, c’est purificateur. » De quoi donner des sueurs froides à Isabelle Adjani.

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