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Isabelle Adjani : ce qu’elle ne supporte pas et dont son fils est accro, « ça me donne envie de pleurer »

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Figure incontournable du septième art, Isabelle Adjani a 67 ans et il y a bien quelque chose qu’elle ne supporte chez la jeune génération : les tatouages. Lors d’un entretien accordé à Nice Matin, publié ce 11 août, l’actrice s’est confiée sur cet « engouement générationnel » qui la peine tant. Particulièrement chez son fils, Gabriel-Kane, dont le corps en est recouvert. « Ne m’en parlez pas… ça me donne envie de pleurer… J’accepte ceux de mon fils comme une maman résignée, mais cet engouement générationnel qui touche aussi des gens qui n’ont plus vingt ans me désespère et me bouleverse… », a-t-elle expliqué. Avant de poursuivre : « Est-ce lié à un fond transgénérationnel de rejet ? Pourtant, à ma connaissance, je n’ai pas eu de famille déportée… Malheureusement, je l’associe à ça ».

Pour celle qui a récemment été critiquée à cause de son changement de tête, le tatouage c’est non. « Sans jugement moralisateur, la peau est pour moi un organe et cette encre que l’on loge sous la peau pollue l’organisme. La peau reflète aussi la lumière d’un être. L’obscurcir me déconcerte. L’autre fois, j’ai vu quelqu’un qui s’était fait tatouer le blanc des yeux. J’en ai pleuré ! », a-t-elle déclaré. 

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Pourtant, ceux de son fils n’ont pas été faits au hasard, au contraire ils ont été mûrement réfléchis et ont chacun leur signification. « ‘Connais tes forces et assume tes faiblesses’, ‘Chaque blessure est un lieu de guérison’, pour les derniers que j’ai fait faire », avait-il expliqué lors d’un entretien accordé à Paris Match en 2016. Contrairement à sa mère, Gabriel-Kane accorde au tatouage une action purificatrice. « À chaque épreuve sa gravure. Parfois, je me fais tatouer dans des endroits où ça fait très mal. J’aime bien tester mon endurance à la douleur et aller au bout de ma résistance. Un tatouage, c’est purificateur », avait-il argué.

Antoine F-M

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