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« J’ai un dinosaure dans mon salon » : Kad Merad ne va pas apprécier cette remarque de sa femme Julia Vignali dans « Télématin »

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« Est-ce que vous avez déjà rêvé d’un dinosaure dans votre salon ? », demandait-on à Thomas Sotto et Julia Vignali sur le plateau de « Télématin ». « Mais moi j’en ai un dans mon salon« , répondait Julia Vignali, en référence à son mari Kad Merad. « Un dinosaure talentueux », commentait Thomas Sotto, très ému récemment sur le plateau après un discours d’adieux. « Je pense à mon mari », expliquait Julia Vignali, avant que son homologue ajoute : « j’espère qu’il n’est pas réveillé pour entendre ça ». « Il ne l’est pas », a rétorqué la femme de Kad Merad, qui expliquait le mois dernier le secret derrière ses érections au cinéma, à coups de scotch et de petites combines ni vu ni connu. S’il était réveillé ce matin, espérons alors qu’il se soit levé du bon pied ! 

Surtout que Kad Merad est sensible ces jours-ci, comme en atteste son dernier passage dans « Quotidien » le 7 septembre dernier. Invité dans le cadre de la sortie de « Citoyen d’honneur » le 14 septembre prochain, l’acteur s’est confié sur ses relations compliquées avec sa famille algérienne depuis le décès de son père. « Ma mère est berrichonne et mon père Algérien. Ils se sont rencontrés en France. Très vite, ils sont partis ouvrir un salon de coiffure en Algérie mais, pour ma mère, ils sont rentrés au bout de deux ans. Je suis né pendant cette parenthèse alors que mes trois frères et soeurs sont nés en France. Mais nous avons tous, et toujours, été connectés avec ce pays », a commencé par raconter l’acteur face à Yann Barthès.

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Avant de poursuivre, très ému : « J’ai mes tantes, mes oncles, j’ai des neveux, des cousins, je les vois jamais. Je les voyais beaucoup avec mon papa, qui nous a quittés… C’était mon lien avec l’Algérie mon père. C’est pour ça que je suis un peu triste quand j’imagine qu’il n’a pas pu voir ce film parce que forcément ça ne peut que lui parler, lui faire plaisir. Ce film, c’est pour mon père finalement, quelque part. »

Laure Bertrand

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