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Gérard Darmon fâché avec Jean-Pierre Bacri : il craque en évoquant leur brouille, « deux imbéciles »

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Gérard Darmon n’est pas du genre à laisser paraître la moindre émotion. Ce mardi 4 octobre dans l’émission « En aparté », il a pourtant fendu l’armure en découvrant des images de lui au côté du regretté Jean-Pierre Bacri. Des souvenirs qui l’ont plongé dans une profonde nostalgie.

Gérard Darmon, c’est le patriarche de Family Business, l’indomptable dans LOL qui rit sort et le pince-sans-rire que tout le monde adore. En revanche, il est un peu moins facile de déceler la facette émotive du comédien. Pourtant, s’il ne montre rien, Gérard Darmon est loin d’avoir un coeur de pierre. Ce mardi 4 octobre, il était l’invité de Nathalie Lévy dans l’émission En aparté sur Canal +. Vie de famille, tournages, carrière, souvenirs, tous les éléments de la vie de Gérard Darmon ont été survolés. Mais l’un d’eux l’a complètement bouleversé.

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Gérard Darmon a vécu une amitié sans faille avec Jean-Pierre Bacri. Jusqu’à ce qu’un malheureux incident, dont la nature n’a pas été dévoilée, ne vienne se mettre en travers de leur route : « On avait des rapports difficiles. On est resté fâché assez longtemps comme les deux imbéciles qu’on était lui et moi. Quand on s’est retrouvé, on s’est retrouvé comme deux imbéciles aussi, et on a perdu du temps« , a-t-il regretté. Très affecté d’évoquer l’un des drames de sa vie, Gérard Darmon a laissé les larmes lui monter aux yeux sans pouvoir les contrôler.

Très chamboulé par la situation, Gérard Darmon a poursuivi : « Je l’aime toujours et j’y pense tous les jours. On a eu l’occasion de se le dire très longtemps. » Loin de vouloir « faire dans le pathos« , le papa de Jules, Virginie, Sarah et Léna, sa dernière fille âgée de 5 ans, a fait ce qu’il aurait dû faire au moment de la mort de son ami, lui adresser une belle déclaration en évoquant la personne exceptionnelle qu’il était : « Cet homme était un homme d’abord d’accès facile, et en même temps complexe. Il avait la maladie de l’intelligence, il était drôle, intelligent, sensible, d’une acuité… Il était rapide, il y avait des fulgurances et ça nous convenait très bien. L’un répondait à l’autre, l’un faisait rire l’autre il n’y avait pas d’ordre c’était comme ça. Une espèce de gémellité. » Gérard Darmon doit malheureusement composer sans cette complicité désormais et surtout, avec ses regrets…

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