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« Ce n’est pas moi qui ai voulu… » : après ses écarts avec Jean-Jacques Debout, Chantal Goya fait de nouvelles révélations fracassantes !

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Bécassine, Pandi-panda, ou encore Un lapin. Autant de titres qui ont bercé notre enfance, et l’enfance de nombreux bambins encore, et qui ont failli ne jamais exister. En effet, Chantal Goya aurait pu ne jamais offrir ces titres si le destin ne l’avait pas conduit vers la chanson. Et pourtant, cela n’était pas gagné comme elle le confiait dans Les Clefs d’une vie sur Sud Radio il y a quelques jours.

En effet, la compagne de Jean-Jacques Debout avouait qu’elle n’avait jamais songé à devenir chanteuse. Au départ, c’est journaliste et plus précisément, journaliste de guerre qu’elle voulait faire. « Je voulais être journaliste. Je voulais être reporter de guerre. C’est pour ça que j’apprenais l’anglais », a-t-elle révélé lors de son entretien avant de se souvenir : « J’avais dit à mes parents : ‘C’est pas grave, on va trouver une solution. Faut que je parle anglais, que j’aille en Angleterre. Et tout de suite, mon père m’a trouvé une famille avec des enfants ».

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Chantal Goya n’imaginait pas une seule seconde son choix de carrière

Chantal Goya l’assure, ce n’est « pas du tout » elle qui a « voulu chanter, ni être connue ». Au final, « c’est la rencontre avec Jean-Jacques Debout » qui a tout fait basculer. Mais d’où lui vient ce goût pour le journalisme ? D’après ses dires, c’est le journaliste Daniel Filipacchi, président d’honneur d’Hachette Filipacchi Médias et à l’origine du magazine Salut les copains qu’il a créé dans les années 1960, qui l’aurait motivée à suivre cette voie.

Et si la guerre en Ukraine est difficile à vivre pour les citoyens touchés par le conflit ou les « spectateurs », Chantal Goya y voit une admiration. Du moins pour les reporters qui partent en zone de guerre : « Je loue une très grande admiration pour les grands reporters qui vont en Ukraine. Quand je vois des jeunes filles qui ont 30 ans ou peut-être plus jeunes et qui nous parlent toutes bradées d’appareils, de gilets pare-balles… je me dis : ‘quel courage elles ont !’ Sans elles, on ne saurait rien. On n’aurait pas de nouvelles », conclut-elle admirative.

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R.F

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