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“Je ne veux plus faire ce métier de ma vie” : Gad Elmaleh, “proche du burn-out”, ses bouleversantes confidences en pleine interview

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Toujours avec le sourire, mais pourtant pas tout au long de sa vie. Depuis son premier spectacle et sa première apparition dans un long-métrage, Gad Elmaleh n’a jamais perdu cette joie de vivre qui le caractérise si bien. C’est par cette même joie de vivre, son sourire ravageur, en plus de son talent humoristique, qu’il déchaîne les passions et plaît toujours autant au public depuis toutes ces années. Pourtant, sa carrière a bien failli s’arrêter net comme il a pu le raconter lors de son passage dans le podcast « In Power ».

Au micro de Louis Aubery, celui qui est à l’affiche de son film Reste un peu, a d’abord avoué son crush pour une animatrice télé. Avant que son interlocutrice ne le questionne sur un sujet assez douloureux : « C’est quoi ton pire souvenir d’un show ?”. « Je crois que mon pire souvenir, c’est celui d’un show où j’étais limite proche du burn out. J’avais trop joué, c’était il y a une quinzaine d’années », se souvient-il dans un premier temps avant de poursuivre : « Le fait d’avoir trop joué faisait que j’entendais mes propres blagues comme des sons diaboliques, c’était terrible ».

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Cette période compliquée pour Gad Elmaleh

Gad Elmaleh ne s’arrête pas là et révèle qu’après avoir fait le show, il était « très malheureux. Je suis sorti de scène, et je me suis dit ‘Je ne veux plus jamais faire ce métier de ma vie, plus jamais’. Et en fait, ce n’est pas juste comme appréciation de ce qu’il se passe, c’est juste fait en moins, mais ça me rappelle Diam’s et son documentaire », a-t-il finalement conclu. Son succès, il ne le regrette pas. Toutefois, l’humoriste reconnaît avoir été perdu dans ce même succès à un moment de sa vie.

« À un moment donné, tu te perds un peu là-dedans. Je ne me suis pas perdu là-dedans, mais je me souviens d’un moment où j’étais limite », avoue-t-il sans oublier de reconnaître la « chance » qu’il a eue d’avoir « cette petite distance avec le burn out qui fait que tu te vois, tu réalises, parce que les gens qui font des vrais burn out, c’est trop tard ».

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R.F

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