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Divertissement

Stéphane Rotenberg obligé de se balader partout avec une « bonbonne à oxygène » : les médecins de « Pékin Express » ultra-prudents !

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C’est ce jeudi 16 février 2023 que sera diffusé le premier épisode de la nouvelle saison de l’émission « Pékin Express ». Pour cette 17e édition, c’est dans trois pays différents, à savoir la Bolivie, le Paraguay et le Brésil que les candidats vont devoir essayer de survivre. Invité sur le plateau de « Buzz TV » ce mercredi 15 février 2023, Stéphane Rotenberg s’est confié sur les conditions du tournage plutôt compliquées : « Pour le premier épisode, on a quitté Paris le 23 août, il faisait très chaud et beau et, on est arrivés à 4000 mètres d’altitudes à La Paz en hiver » s’est-il remémoré avant d’ajouter : « Il faisait froid. Les candidats se sont baignés dans le lac Titicaca à 6 degrés, ils ont été saisis ! ».

Avant de poser les pieds à La Paz, une batterie de tests médicaux a ainsi été réalisée, comme l’explique le présentateur : « On pédale sur un vélo avec un masque pour vous retirer de l’oxygène et on voit si votre cœur tient ». Le quotidien s’est donc avéré être beaucoup plus différent et beaucoup plus « difficile » qu’ailleurs : « On sort de la voiture, on fait trois pas et on se rend compte qu’il faut ralentir car on est essoufflés. Tandis qu’on voit les Boliviens qui cavalent dans tous les sens, l’orgueil en prend un coup  » s’amuse-t-il.

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« On a des crises d’apnée »
On apprend alors que Stéphane Rotenberg devait alors se munir d’une bonbonne à oxygène absolument partout : « On avait tous ça dans la voiture au cas où, car on avait souvent mal au crâne. On avait aussi un caisson Isobar. Notre équipe médicale était suréquipée par rapport au Paraguay et au Brésil après  » explique-t-il.

Celui qui assurera la présentation de l’émission « Top Chef » en mars prochain se souvient également que les hautes altitudes ont eu des conséquences directes sur leur forme : « On est fatigués. Les premières nuits, on a des crises d’apnée. On n’arrive pas à dormir, on a le souffle court. C’est un peu pénible mais le pays est tellement beau et fulgurant ».

ES

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