‘Je n’ai pas fait tomber mon fils’ : Poupette Kenza s’exprime et donne sa version des faits

L’affaire Poupette Kenza

Poupette Kenza est l’influenceuse la plus suivie de France sur Snapchat. Depuis le 17 février 2023, la jeune femme fait l’objet d’une enquête pénale pour « soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif légitime à ses obligations légales compromettant sa santé, sécurité, moralité ou son éducation ». En effet, son fils de 9 mois a été admis à l’hôpital après que sa tête ait triplée de volume. Et pour cause, le petit garçon souffre d’un hématome sous-dural.

Malgré tout, depuis l’hôpital, la jeune Kenza se veut rassurante. Toujours très active sur ses réseaux sociaux, l’influenceuse informe que son fils est sorti d’affaire. Malheureusement, très vite, l’hôpital l’aurait soupçonnée de négligence, voire de maltraitance envers son enfant. Dès lors, les choses vont très vite. Le 17 février 2023, le parquet de Rouen – où vivent Poupette et sa petite famille – confirme le placement en garde à vue de l’influenceuse. De son côté, le petit Khalis est temporairement retiré de ses parents dans le cadre de la procédure.

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Poupette Kenza : elle sort du silence

Plusieurs semaines après le début de cette affaire, la maman de Khalis sort enfin du silence. En Story Instagram, elle écrit : « Bonsoir mes poupettes .. Après + de 2 semaines de silence, des semaines à me faire calomnier, humilier, rabaisser, intimider, et même harceler. Je pense qu’il est temps de vous dire la vérité des faits qui se sont déroulés.. Quand vous l’avez fini. Je vous attends. C’était beaucoup trop long pour une story Snapchat. »

Sur Youtube, dans une vidéo de près d’une heure intitulée « La vérité. », la jeune femme livre pour la première fois sa version des faits. Poupette Kenza, qui se dit être « persécutée », reproche notamment au personnel hospitalier d’avoir partagé le dossier médical de son enfant. Celle qui s’était exprimée en larmes dans TPMP annonce son intention de s’engager dans la lutte contre la malveillance dont elle est victime sur les réseaux sociaux.

En pleurs, elle explique la scène avec l’assistance sociale quand elle est venue récupérer son fils : « C’est un traumatisme pour moi. Déjà vous êtes en train de suspecter un truc que potentiellement j’aurais fait à mon enfant alors que c’est totalement déconnecté de la réalité. Bref et là je lève la tête, je vois 5 ou 6 policiers. Donc l’assistante sociale qui vient récupérer Khalis avec les forces de l’ordre. Elle me semble un papier qui s’appelle une OPP, une opération de placement provisoire. ‘Voilà Madame on va placer votre fils’. J’ai dit ‘quoi quoi, madame non’. Je n’oublierai jamais cette scène. »

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Officielles vous propose de visionner la vidéo :

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