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Divertissement

Claude François lynché chez Jordan de Luxe par Laroche Valmont, star des années 70 : « Odieux ! »

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Disparu en 1978 à l’âge de 39 ans, Claude François alias Cloclo a eu 15 ans de carrière au sommet, non sans efforts. « Féroce » et « relativement odieux » en affaires, le chanteur de « Belles ! Belles ! Belles ! », « Cette année-là », « Le téléphone pleure », « Magnolias for Ever », « Alexandrie Alexandra » ou encore « Comme d’habitude » avait mauvaise réputation dans le milieu de la musique… Et c’est le chanteur Laroche Valmont, qui l’a bien connu dans les années 70, qui le dit.

Il a dépouillé Johnny Hallyday et Patrick Juvet

Invité de Jordan de Luxe, ce 8 mars 2023, le cultissime interprète de « T’as le look coco », a balancé sur les méthodes peu orthodoxes de Claude François pour durer dans le métier. À propos de lui il a expliqué : « il avait la niaque, c’était un petit nerveux », aussi bien dans la sphère intime qu’auprès de ses concurrents chanteurs.

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On a ainsi appris ce mercredi matin que Claude François « essayait d’imiter un peu la posture naturelle et spontanée de star qu’était Johnny Hallyday » et que « Souvent, il courtisait les filles qui avaient déjà été courtisées par Johnny« . Il aurait fait bien pire à Patrick Juvet (mort en 2021) à en croire le témoignage de Laroche Valmont… En 1972, lorsque le chanteur blond a sorti « La Musica », Claude François l’a dépouillé de son deuxième 45 tours, qui allait devenir « Le lundi au soleil » assure celui qui était son ami !

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Dans le détail, il parle des intimidations qu’a subi Patrick Juvet, qui ne voulait pas donner son tube à Claude François au départ. Cloclo aurait alors fait pression « auprès de l’entourage de Patrick Juvet » et de sa maison de disque pour qu’il accepte finalement de céder. Encore aujourd’hui, Laroche Valmont a de la peine pour Patrick Juvet qui était encore un gamin à l’époque « il avait 22 ans, il venait de Suisse, était timide, musicien », dit-il et qui « a eu beaucoup de mal à s’en remettre ».

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Ironie du sort

Le hold-up s’est finalement produit au 122 boulevard Exelmans, dans le 16e arrondissement de Paris. Patrick Juvet a chanté au label Flèche, et « Claude François était au dernier étage de cet hôtel particulier et il a entendu la chanson mais il n’est même pas descendu lui dire merci ou que c’était bien » déplore Laroche Valmont.

Heureusement, Patrick Juvet « a connu une gloire internationale à laquelle Claude François rêvait« , en sortant en 1978 « I love America ». Cette année-là, Claude François était retrouvé mort chez lui, après une électrocution accidentelle dans sa salle de bains.

F.A

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