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Jean-Luc Reichmann : agression par un homme armé dans le métro parisien, sa protégée et partenaire Lola Dubini témoin et outrée par la réaction de la RATP !

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Dans la nuit du mardi 2 au mercredi 3 mai 2023, Lola Dubini a été confrontée à une terrible situation alors qu’elle se trouvait dans le métro parisien. Harcelée par un homme, la protégée de Jean-Luc Reichmann a tenté d’appeler le numéro d’urgence de la RATP qui n’a visiblement été d’aucun secours. « Très déçue par le système mis en place par la RATP 3117 censé être un numéro de sécurité en cas de harcèlement », a-t-elle expliqué sur son compte Twitter.

« Premier appel à 00:21 qui me demande de décrire l’individu et la situation. Je leur dis qu’il va entrer dans le métro avec moi et d’autres femmes et qu’il essaie d’entrer en contact physique avec nous ». Pour se protéger de l’homme en question, la comédienne de 29 ans et les autres femmes ont donc pris la décision de rester groupé et de s’entraider en attendant l’intervention des agents de sécurité qui, malheureusement, ont mis du temps à intervenir.

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« Le mec est avec une arme semi-blanche en tout cas un objet pouvant blesser », précise la star de Léo Matteï, Brigade des mineurs. Ce n’est qu’après une dizaine de stations que « 3 hommes de sécurité RATP » sont arrivés. « Je vous laisse imaginer le laps de temps, la longueur quand on est ». « Pas sereine. Quand on sait que l’homme est en recherche de proie et qu’on est impuissantes. Les 3 agents RATP m’ont redemandé une description physique, j’ai sorti les photos, j’ai dû envoyer un mail. Bref mascarade. Le 3117 n’est visiblement pas un ‘numéro d’urgence' », déplore Lola Dubini.

Si la chanteuse et actrice estime avoir « eu de la chance« , elle dénonce le mauvais fonctionnement d’un système dit « d’urgence ». « Je me mets à la place d’une femme ou d’un homme ayant subi ou en passe de subir une agression. 25 minutes, c’est trop long. L’urgence ce n’est pas 25 minutes. On a le temps de subir en 25 min ». Et de conclure : « Courir après trois clamps qui ont sauté les tourniquets, ça, on sait faire en 3 min. Mais stopper un danger public, frotteur avec des intentions malsaines et immondes : 25 longues minutes. C’est la honte ». Un récit glaçant…

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V.B

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