« Grosse ch… », au procès d’Ambre Dol et Alexandre, stars de « Familles nombreuses », la juge raconte en détails et c’est violent !

Presque invisible à l’écran dans « Familles nombreuses, la vie en XXL », la relation entre Ambre Dol et son mari Alexandre ne se trouvait pas au beau fixe… loin de là. À tel point que la mère de famille a annoncé la fin de leur histoire en nombre 2022, par le biais de son compte Instagram. « Avec Alexandre nous avons décidé de prendre un chemin différent. Je resterai silencieuse sur notre séparation, j’estime que ça fait partie de notre jardin secret et surtout celui de nos enfants », a-t-elle écrit à l’époque.

Mais les fans ignoraient sans doute que le problème était bien plus important. En effet, quelques jours avant cette rupture, la mère de famille a porté plainte contre Alexandre pour violences conjugales. Comme le relayent nos confrères du Parisien, le procès a démarré ce mardi 2 mai au tribunal correctionnel de Tarascon. Un procès qui fait suite à la plainte déposée par la mère de famille rapporte La Provence, datant du 7 novembre 2022.

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Ambre Dol porte plainte contre son ex-mari pour violences conjugales

Une plainte pour violences conjugales habituelles. Le jour de la plainte, son ex-mari aurait tenté d’appeler « à plusieurs reprises, sans succès », la candidate de « Familles nombreuses, la vie en XXL » comme le rapporte le Parisien. Une fois face à face, Alexandre aurait alors traité Ambre de « grosse chienne » devant les enfants, et lui aurait pris de force son téléphone.

Selon la mère de famille, son quotidien, quelque temps avant leur rupture, n’aurait été qu’insultes et humiliations. De plus, elle assure qu’Alexandre lui aurait fait très souvent des « clés de bras », toujours dans le but de lui prendre son téléphone. Dans les vidéos transmises aux gendarmes, il serait possible d’entendre l’ex-compagnon d’Ambre Dol la rabaisser et l’insulter devant les enfants.

De son côté, l’homme jugé depuis mardi pour violences conjugales reconnaît avoir insulté Ambre Dol. Toutefois, il nie toute violence physique, comme le rapporte La Provence : « Je ne l’ai jamais frappée. Je l’ai peut-être saisie pour qu’elle se calme. C’était très compliqué entre nous. On s’insultait, certes, mais c’est la mère de mes enfants et je la respecte ». Le tribunal devrait rendre son verdict le 16 mai 2023.

R.F