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« Je l’aurais laissée crever », Géraldine Nakkache furax : gros règlement de compte dans son entourage !

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Franche, elle l’a toujours été. Par sa franchise et son fort caractère, mais aussi sa complicité si particulière avec Leïla Bekhti, Géraldine Nakache fait partie des artistes françaises les plus appréciées du pays. Toutefois, il existe une personne dans le monde qui ne doit pas la porter dans son cœur. Notamment dans le cas où celle-ci n’a toujours pas oublié un moment difficile en maternelle, quand elle se trouvait dans la même classe que la comédienne de 43 ans.

En effet, invitée dans le Small Talk de David Castello-Lopes, l’actrice à l’affiche du film « Le Cours de la Vie », en salles le 10 mai 2023, a été interrogée par son homologue sur un « truc pas sympa [qu’elle] a fait ». « Je me souviens très, très clairement. Donc je suis en maternelle probablement, donc je n’ai pas plus de cinq ans. On faisait du dessin », confie Géraldine Nakache pour planter le décor avant de souligner la présence de « Chantal », en face d’elle : « Elle a les yeux bleus comme toi, elle est très belle. Et on a à l’époque des petites gommes en forme de crocodile qui sentent la noix de coco ».

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Géraldine Nakache, « sadique » avec Chantal

Comme toutes les gommes, celle en forme de crocodile serait brisée, perdant, de fait, la queue, « ou la tête ». « Et puis je vois, je ne sais pas comment elle en arrive là, est-ce qu’elle a voulu sentir la gomme ? Parce qu’elle sentait très bon. Et là, elle s’enfonce cette petite partie de gomme dans le nez », poursuit la comédienne avant de se souvenir : « Et je vois, qu’elle est un peu dans une souffrance… Et je n’appelle pas la maîtresse. Je me suis dit ‘j’ai laissé quelqu’un en danger' ».

« T’as fait quelque chose d’un peu immoral », note alors David Castello-Lopes. « Ben à fond non ? Je l’aurais laissée crever, je crois », confirme son homologue qui rassure sur l’état de santé de Chantal : « Chantal, c’est sûr qu’elle va bien. C’est sûr qu’elle est minimum mannequin. Elle n’a même pas été à l’infirmerie hein ! » Même si, aujourd’hui, Chantal se porte bien, Géraldine Nakache reconnaît avoir « kiffé » le fait que sa camarade ait « eu mal ». Heureusement, ce goût pour la « violence » s’en est allé avec le temps.

R.F

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