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Divertissement

Faustine Bollaert : attentat déjoué en plein événement télé, l’animatrice face à un scénario catastrophe !

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Le 11 février dernier se déroulait l’élection de Miss Belgique 2023 au théâtre de La Panne. Une cérémonie qui a failli virer au drame puisqu’un homme projetant de perpétrer un attentat a été interpellé. Un choc pour Gaetan Bartosz qui animait la soirée. Invité de Faustine Bollaert sur le plateau de son émission Ça commence aujourd’hui ce mercredi 10 mai 2023, l’animateur a levé le voile sur les dessous de cet évènement traumatisant.

« Je tire vraiment mon chapeau à la police et à la justice belge qui a vraiment bien fait son travail. Quand ils le font mal, on le dit, mais quand ils le font bien aussi. Déjà, ils ont évacué tout le monde dans le calme. Donc le public ne s’en rendait pas vraiment compte. Ça s’est passé vraiment sans panique avec une douceur incroyable. Et puis à un moment donné, quand le comité a entendu qu’on n’était pas très chaud de monter sur le plateau, le maire est venu nous voir le commissaire aussi pour nous expliquer un peu ce qui s’était passé. Comment ils ont su maîtriser la situation à ce moment-là, etc. Ils nous ont rassurés en disant : ‘On a des policiers partout, sur le toit, à chaque entrée, on a fouillé la salle, les chiens ont fouillé la salle pendant une vingtaine de minutes. Tout a été passé au peigne fin. A priori, il n’y avait plus vraiment de risque », a-t-il raconté. Selon lui, tout s’est passé très vite.

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« On a tous les images de ce qui s’est passé au bataclan »

Si la situation semblait maîtrisée, le maire et le commissaire ont tout de même demandé à Gaetan Bartosz s’il se « sentait capable de monter sur le plateau ». Une question indispensable selon Marc Geiger qui estime que « l’autorité judiciaire doit donner le feu vert parce que c’est elle qui détermine l’absence ou la présence d’un danger potentiel ». Cependant, il assure également qu’il était risqué de prendre une telle décision. « Dans une histoire comme celle-là, c’était assez piégeux dans le sens où malheureusement, l’histoire nous enseigne qu’en général, dans ce genre de comportement, ils ne sont jamais seuls. Ils sont souvent deux, trois, quatre justement pour que si un se fait arrêter, les autres peuvent poursuivre. Ils y avaient ce risque. »

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De son côté, Gaetan Bartosz a finalement accepté de prendre l’antenne après avoir téléphoné à ses proches. « On a tous les images de ce qui s’est passé au bataclan. Je tiens à dire que je ne compare absolument pas, c’est mon ressenti et l’image que j’avais dans la tête. Pendant toute la cérémonie, j’ai regardé les entrées qui étaient en face de moi ». Un récit glaçant.

V.B

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