Jean-Jacques Goldman a « fui » : sa fille Caroline s’épanche comme jamais sur sa vie en « banlieue » !

Des titres cultes, des textes pour les plus grands artistes, et une immense voix. Jean-Jacques Goldman fait partie des plus grands artistes français par son talent et bon nombre de ses fans aimeraient le voir un peu plus dans le paysage médiatique. Lui qui semble s’être retiré pour couler des jours heureux aux côtés de sa nouvelle compagne avec qui il s’est marié en octobre 2001, Nathalie Thu Huong-Lagier.

Une compagne avec qui l’interprète de « Je te donne » a de nouveau goûté aux joies de devenir papa. Après avoir endossé ce rôle à la naissance de Caroline (1977) et Michael (24 juillet 1979), l’acolyte de Michael Jones a accueilli trois autres enfants, Maya en 2004, Kimi en 2005 et Rose en 2007. C’est aux côtés de Catherine Morlet qu’il a d’abord vécu la première partie de sa vie. Une « petite vie banlieusarde », comme s’est souvenue Caroline dans les colonnes de Libération ce samedi 3 juin. À la naissance de celle-ci, son père ne connaissait pas encore le succès d’aujourd’hui.

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Caroline se confie comme jamais sur son père Jean-Jacques Goldman

Cela lui a permis de grandir loin des projecteurs, comme l’a toujours fait, au final, Jean-Jacques Goldman. « J’avais une vie de petite banlieusarde, mes parents fuyaient le monde du show-business », a confié celle qui a intégré l’Ecole alsacienne après une première partie de sa scolarité dans le publique. Et même après ce changement, Caroline l’assure : ce n’est pas parce que son père était célèbre, et qu’elle a quitté l’école publique, qu’elle s’est mise à fréquenter les autres enfants de stars pour autant.

La vie que lui ont offert ses parents, Caroline Goldman en est fière et elle ne la changerait pour rien au monde. Elle l’a toujours comblée et a tenu à le rappeler une nouvelle fois : « J’ai grandi auprès de parents et de grands-parents très doux. C’était un environnement assez idéal. Je le percevais déjà ainsi à l’époque ». Jean-Jacques Goldman a finalement toujours souhaité vivre loin de ce monde du « show-business ». De fait, son absence de la scène médiatique paraît bien plus compréhensible aujourd’hui.

R.F