Pour Philippe Risoli, Jean-Pierre Pernaut a « joué au con » : l’ex-animateur sans pincettes sur la disparition de son ami !

Il s’était fait incontestablement sa place dans le foyer des Français. Journaliste sur les antennes du groupe TF1 depuis 1975, Jean-Pierre Pernaut nous a malheureusement quittés le 2 mars 2023 des suites d’un cancer du poumon. Une disparition qui a bouleversé les Français. Ainsi, de nombreuses personnalités ont tenu à rendre hommage à celui qui fut longtemps la star du JT de 13 heures de la première chaîne.

Pour preuve, un an et demi après la mort de Jean-Pierre Pernaut, ce mercredi 13 septembre 2023, Philippe Risoli a tenu à revenir sur la mort tragique du journaliste à l’âge de 78 ans… Mais contre toute attente, l’animateur de radio a insisté sur la mauvaise hygiène de vie du défunt mari de Nathalie Marquay.

« Il a joué au con, comme il disait », a en effet déclaré l’ancien présentateur du Juste Prix au cours d’un entretien accordé à Ici Paris.

Et d’ajouter : « C’est un homme que j’aimais beaucoup parce qu’il était vrai. On s’est beaucoup côtoyés quand j’ai partagé avec son épouse l’affiche de ‘Piège à Matignon’, la pièce qu’il avait écrite […] J’ai gardé beaucoup de tendresse pour Nathalie, même si je ne suis pas toujours d’accord sur tout avec elle », a-t-il ajouté.

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2 paquets par jour pendant 50 ans

Pour rappel, dans le documentaire Jean-Pierre Pernaut, la vie d’après diffusé en décembre 2021, le père de Tom et Lou avait lui-même déclaré : “J’ai été con de continuer à fumer.” Et pour cause, pour lui, aucun doute, le tabagisme était le principal responsable de ces tumeurs : « On a toujours l’impression que ça ne peut arriver qu’aux autres, mais quand on m’a dit que j’avais un cancer des poumons, je me suis dit que finalement […] tous les gens qui m’avaient dit d’arrêter de fumer avaient raison. Il aurait fallu que j’arrête plus tôt”, avait-il déclaré, avouant au passage avoir fumé deux paquets par jour pendant 50 ans.

Une addiction qu’il était parvenu à combattre dès l’annonce de son diagnostic : « J’ai vraiment eu la trouille. J’ai arrêté le 17 juin, sans aide et sans problème, alors que je ne croyais pas ça possible », confiait-il à l’époque.

L.Z.