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« Tout était de ma faute » : Claudio Capéo regrette d’avoir trop gâté son fils

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Reçu par Nikos Aliagas dans le podcast « The Voice All Stars », Claudio Capéo est revenu sur une de ses mauvaises habitudes. Lorsqu’il n’était pas auprès de sa famille, ce dernier a régulièrement apporté de nombreux cadeaux à son fils aîné. Une mauvaise habitude pour le chanteur de 36 ans qu’il regrette aujourd’hui.

Invité au micro de Nikos Aliagas, dans le podcast The Voice All Stars, Claudio Capéo s’est vivement épanché sur sa vie de famille. Père de deux jeunes garçons, Roméo et César, le chanteur de 36 ans a révélé être un véritable papa gâteau. Une situation qu’il a du mal à gérer aujourd’hui.

Connu sur le petit écran suite à sa participation dans la cinquième saison de The Voice, Claudio Capéo n’a pas remporté le célèbre télé-crochet de TF1 (gagné par Slimane) mais a tout de même gagné en notoriété. Après avoir dévoilé son single Un homme debout, sorti en 2016, l’accordéoniste a enchaîné les tubes et les représentations. Ce qui l’a souvent éloigné de sa belle Aurélie – avec qui il vit le parfait amour depuis plus de 20 ans – et de ses deux jeunes garçons. Et pour compenser ses absences, ce dernier n’a pas hésité à gâter ces derniers de nombreux présents. « Je suis un papa qui a été très ouvert à tout dès le début, qui a fait beaucoup de cadeaux à son petit garçon. Tout ce que je n’ai jamais pu avoir, tout ce que je n’ai jamais eu, bah j’ai voulu lui offrir« , a-t-il expliqué à Nikos Aliagas. Et de poursuivre sur les raisons derrière tous ces cadeaux : « Parce que j’ai été beaucoup absent, parce que je m’en voulais énormément donc dès que je rentrais c’était une petite voiture téléguidée, un petit truc. »

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Une situation que le père de famille regrette aujourd’hui puisque cela a mal habitué son aîné. « J’ai gâté, j’ai gâté, j’ai gâté… Je me suis dit : ‘P*****, j’ai fait n’importe quoi !’« , a-t-il ensuite indiqué, mentionnant que son petit garçon s’est très vite mis à réclamer d’autres cadeaux par la suite. Une mauvaise habitude qui a mis à mal Claudio Capéo : « Tout était de ma faute, tout était de ma faute. Je m’en suis tellement voulu ! » Et de conclure, défaitiste, sur cette fâcheuse coutume : « Et puis vas-y après pour rattraper le truc... »

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