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Wayne Rooney cash sur son alcoolisme et ses ‘beuveries’ : ‘Je m’enfermais pour boire’

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Dans une interview accordée au « Mail on Sunday », Wayne Rooney s’est livré comme rarement sur ses problèmes liés à l’alcool. L’ancienne star de Manchester United a dû passer par une période très sombre avant de se reconstruire.

On a beau être une star adulée par des millions de fans et brasser des millions, cela ne suffit pas toujours à être heureux. Véritable prodige lorsqu’il débute sous les couleurs d’Everton, Wayne Rooney est très rapidement devenu l’un des joueurs anglais les plus populaires et son arrivée à Manchester United n’a fait que renforcer ce statut. Si sur les terrains tout allait bien pour celui qui a 36 ans aujourd’hui, en dehors les choses étaient visiblement beaucoup plus compliqués.

Mariés à Coleen McLoughlin depuis 2008, la père de trois garçons s’est confié au Mail on Sunday dimanche dernier et il est revenu sur cette période sombre qui a débuté à son arrivée dans le club de Manchester. « Dans mes premières années à Manchester United, probablement jusqu’à ce que j’aie mon premier fils Kai (en 2009), je m’isolais totalement. Je ne sortais jamais », révèle-t-il. Très sensible à la pression inhérente à son statut de superstar, Wayne Rooney sombre dans l’alcoolisme. « Il y avait des fois où on avait quelques jours de repos et je m’enfermais pour juste boire et effacer tout ça de mon esprit. M’enfermer seul me faisait oublier certains des problèmes avec lesquels je me débattais. C’étaient des beuveries », résume-t-il aujourd’hui.

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J’étais constamment en colère et agressif. J’avais beaucoup de douleur en moi

Une période très compliquée pour celui qui est célèbre pour ses frasques et ses nombreuses infidélités. « J’étais constamment en colère et agressif. J’avais beaucoup de douleur en moi. Ça m’a pris du temps pour découvrir comment gérer ça. C’était une période très difficile », poursuit-il, avant d’expliquer ce qui lui a permis d’aller de l’avant : « J’ai compris que je devais m’asseoir et parler à quelqu’un. Ça a calmé les choses. J’ai parlé avec Coleen, ses parents et les miens ».

Un témoignage sans concession pour l’idole de tout un pays, qui a depuis raccroché les crampons, mais reste dans le monde du football puisqu’il entraîne une équipe de deuxième division anglaise.

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