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Mariage de Julian Assange et Stella Morris : robe Haute-Couture pour aller en prison !

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C’est fait ! Stella Morris et Julian Assange se sont dit ‘oui’ à la prison Belmarsh de Londres ce mercredi 23 mars. Qu’importe les barreaux qui séparaient le couple, l’ex-avocate a revêtu une magnifique robe argent pour célébrer cette journée de mariage qu’elle n’oubliera jamais.

Ce mercredi 23 mars a dû passer à la vitesse de l’éclair contrairement aux autres jours pour Julian Assange. Le fondateur de WikiLeaks, s’est marié avec son ancienne avocate Stella Morris à la prison de haute sécurité britannique d’où il continue de se battre contre son extradition aux Etats-Unis. L’union a eu lieu en début d’après-midi à la prison de Belmarsh, dans le sud-est de Londres, en petit comité avec seulement quatre invités et deux témoins, dont les deux frères et le père de Julian Assange. L’avocate sud-africaine, fiancée depuis sept ans à Julian Assange et mère de deux de ses enfants, s’était mis sur son 31 malgré l’univers carcéral dans lequel elle allait unir son destin à l’homme de sa vie.

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Stella Moris était arrivée vêtue d’une robe de mariée gris argent, conçue par Vivienne Westwood, et accompagnée des deux petits garçons qu’elle a eus avec Julian Assange, en kilt et chemise blanche. Sur son voile étaient brodés les mots « libre« , « noble » et « tumultueux« . La styliste britannique, très engagée pour la libération de Julian Assange, a aussi conçu le kilt porté par le marié – en référence à ses origines écossaises.

Si peu de personnes ont assisté à la cérémonie en très petit comité, le public resté dehors à fait du bruit pour la sortie de la jeune mariée Stella Morris. Champagne, pièce montée avec figurines de mariés, confettis, tout était réuni pour faire oublier les conditions pour le moins spéciales du mariage. Un air de fête qui a touché l’avocate, reconnaissante, « heureuse » et « triste » à la fois de cet événement : « Ce que nous vivons est cruel. […] Julian est une personne des plus extraordinaires. Il devrait être libre« . Pris dans une longue saga judiciaire, l’Australien de 50 ans est recherché par la justice américaine qui veut le juger pour la diffusion, à partir de 2010, de plus de 700.000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, en particulier en Irak et en Afghanistan. Poursuivi notamment en vertu d’une législation contre l’espionnage, il risque 175 ans de prison, dans une affaire dénoncée par des organisations de défense des droits humains comme une grave attaque contre la liberté de la presse.

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