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Divertissement

Ambiance particulière au festival d’électro du Touquet : sur scène, l’artiste couvre Emmanuel Macron d’insultes … et le président est bien là !

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Avant une rentrée politique très chargée, le chef de l’État, accompagné de son épouse, Brigitte et de sa belle-fille, Tiphaine Auzière, avait décidé de s’offrir un dernier moment de détente ce samedi 27 août. Pour cette soirée festive, il avait choisi d’aller travailler son déhanché au son des différents DJ et musiciens invités dans le cadre du festival de l’électro du Touquet, cité balnéaire où ce Picard d’origine possède une résidence secondaire. Et le moins que l’on puisse penser, c’est le président de la République n’a pas dû être déçu du voyage. Ses oreilles ont même dû sérieusement siffler, car à son arrivée, l’artiste Marc Rebillet était sur scène. Réputé déjanté, ce Franco-américain de 34 ans, vêtu d’un peignoir, a fini par l’enlever pour se lancer dans le public après l’avoir arrosé de champagne.

Des « F*ck Macron » fusent sur scène

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Mais une chose est sûre : ce maître des platines n’a sûrement pas voté pour le vainqueur lors de la dernière élection présidentielle, car, durant sa performance, l’homme n’a eu de cesse de lancer des « F*ck Macron » en guise de refrain. Savait-il que son meilleur ennemi assistait à son show ? Ce n’est pas certain, car cette visite familiale n’avait rien de protocolaire. Nul doute cependant que lorsqu’il a appris la nouvelle, Marc Rebillet n’a pas dût être mécontent de son numéro. Les organisateurs du Touquet Music Beach étaient en revanche dans leurs petits souliers, se demandant quel serait la réaction de leur invité de marque, d’autant que l’information s’est répandue comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. Pour leur plus grand soulagement, Emmanuel et Brigitte ont continué à danser comme si de rien n’était. Il n’est pire sourd que celui ne veut pas entendre et, pour réussir une carrière politique, il faut parfois savoir mépriser le mépris. L’un de ses prédécesseurs à l’Élysée avait montré, non sans panache, l’exemple en la matière. Interpellé par un passant qui lui avait lancé un « Connard » tonitruant, il avait répondu : « Enchanté, moi c’est Jacques Chirac. »

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La rédaction

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