« Déstabilisée », une jeune actrice belge dévoile les coulisses totalement surprenant de son tournage avec Benoît Poelvoorde !

Benoît Poelvoorde est de retour dans les salles obscures. Quatre mois seulement après la sortie de Normale d’Olivier Babinet, l’acteur est à l’affiche du nouveau film de Marie Garel-Weiss baptisé Sur la branche.

Un long-métrage dans lequel l’homme de 58 ans interprète le rôle d’un avocat en bout de course baptisé Paul. Un personnage rustre qui fait un jour la connaissance de Mimi (Daphné Patakia), une fille atypique bien décidée à défendre Christophe (Raphaël Quenard), un arnaqueur dont elle est tombée sous le charme. Ainsi, ensemble, ces derniers ne tardent donc pas à former un drôle de duo pour faire avancer cette affaire…

Un long-métrage qui voit le jour en salle ce mercredi 26 juillet… Et à cette occasion, celle qui donne la réplique à Benoît Poelvoorde s’est confiée à Télérama sur son expérience avec l’un des tauliers du cinéma francophone.

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« J’avais du mal à le suivre »

« On a travaillé beaucoup en amont sur le texte parce qu’il fallait que ce soit précis. Après, Benoît est arrivé sur le tournage, il improvisait, il partait… Et ça m’a déstabilisé au début parce que moi, j’avais appris mon texte et tout d’un coup, il partait très très loin et moi, j’avais du mal à le suivre. Je répondais ma réplique, mais ça n’avait plus aucun sens… Mais c’est intéressant parce que quand tu joues avec Benoit, tous les sens sont aiguisés ! », a-t-elle raconté à nos confrères.

Un duo à l’écran sur lequel Benoît Poelvoorde est, lui aussi, revenu à l’occasion d’une interview accordée à l’Éclaireur : « Dès les premières lectures avec Daphné et Raphaël, j’ai su que le casting était bon, je me suis lancé dans l’aventure, et je ne le regrette pas. Ce qui était impressionnant, c’était de voir la rigueur avec laquelle Marie dirigeait Daphné. Évidemment, le film parle beaucoup d’elle, donc elle voulait retranscrire le mieux possible cette différence ». Une belle alchimie à découvrir dès à présent au cinéma.

L.Z.