« Mon mari m’engueule » : cette mauvaise habitude que la moitié de Mimie Mathy ne supporte pas

Mimie Mathy

peut compter sur le soutien indéfectible de sa moitié. Mariée depuis 2005 à
Benoist Gérard

, l’actrice star de TF1 file le parfait amour avec ce dernier. La preuve, celui-ci n’a de cesse de soutenir sa moitié lorsque cette dernière est au cœur de polémiques.

Pour preuve, rappelez-vous, en 2019,
la comédienne avait été accusée d’avoir jeté des rouleaux de papier toilette

à un fan dans un supermarché à Agde… Une rumeur qu’un internaute avait déclenchée sur la Toile avant d’avouer qu’il s’agissait d’une boutade…

Une plaisanterie qui avait tout de même affecté la principale intéressée qui avait tenu à prendre la parole à l’époque pour rétablir la vérité à la suite d’un déferlement de haine . « Tu te dis : ‘mais, où ils vont chercher ça quoi ?'[…] Le mal est fait, mais ça blesse toujours quand c’est très loin de ce qu’on est vraiment dans la vie », avait-elle déclaré au micro de Sud Radio.

Un événement sur lequel Mimie Mathy est récemment revenue. Interrogée par Télé 7 Jours

ce lundi 18 décembre, cette dernière a en effet avoué qu’il lui arrivait « encore de recevoir (des injures) aujourd’hui via les réseaux sociaux ». 

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« Des torrents de boue »

 » Sous couvert d’anonymat, certains déversent des torrents de boue », a-t-elle estimé. Des commentaires négatifs qui attristent l’actrice, mais cette dernière ne peut pas se résoudre à les ignorer malgré les conseils de sa moitié.

« Mon mari m’engueule quand je vais voir ce qu’il s’y dit, mais je suis atterrée et blessée de lire que je ne suis pas gentille sur les tournages, ou que j’ai agressé un homme dans un supermarché. Même si ce dernier a reconnu qu’il avait affabulé, le mal est fait et la vérité est difficile à rétablir », a-t-elle expliqué. « Je ne suis ni méchante ni aigrie, et je reste optimiste. Les choses changent et les esprits sont plus ouverts à la différence, qu’elle soit au niveau de la couleur de peau ou du handicap. Mais il y a encore du boulot ! », a-t-elle conclu.

L.Z.