« Cagoules, gants, ruban adhésif, colliers de serrage » : Nikos Aliagas a échappé au pire…

Dans la nuit de lundi 1er janvier au mardi 2 janvier 2024, à Fontenay-sous-Bois, dans le département du Val-de-Marne, 
la maison de Nikos Aliagas

a été la cible de malfaiteurs. Au nombre de 5, ils ont été pêchés par la police après une course-poursuite. Bilan de leur opération : une serrure percée, une tentative d’introduction stoppée nette par le système d’alarme de l’animateur de TF1 et zéro euro de butin.

Un attirail pour séquestrer et cambrioler

Absent aux moments des faits, la star du paf n’a pas (encore) porté plainte. Il a pourtant échappé au pire, à en croire la description que font nos confrères du Parisien de l’attirail qu’avaient les cambrioleurs sur eux. Selon le quotidien, ils « devaient séquestrer » leur victime. Et d’ajouter : « Ils savaient juste qu’ils auraient affaire à un homme, une femme et un enfant et avaient pris des colliers de serrage et du gros scotch en conséquence… »

Dans un précédent article du Parisien, on apprenait également que les policiers avaient mis la main sur des « cagoules et des gants », « un attirail qui laisse peu de doute sur les intentions des suspects » ont estimé les forces de l’ordre. Heureusement, Nikos Aliagas était en déplacement.

Derrière ses home-jackings de célébrités, qui ont touché notamment la
chanteuse Vitaa

,
l’animateur Bruno Guillon

, le champion de MMA Ciryl Gane ou encore l’ancienne patronne de
Miss Sylvie Tellier

, il y aurait selon les enquêteurs des « donneurs d’ordres » qui se seraient spécialisés dans les cambriolages de people en Île-de-France.

Qui est derrière ?

Ils recruteraient des volontaires, et « ces équipes ne sauraient pas où elles frappent ni chez qui ». D’après le Parisien, « peu de détails leur seraient donnés ». « Tout est bien cloisonné« , ajoute une source judiciaire citée par la publication.

F.A