Lara Fabian victime d’un « bashing » : pourquoi elle se considère comme une « survivante » ?

À l’instar de Céline Dion, Lara Fabian va partie des plus belles voix de cette génération. La chanteuse de 54 ans sera d’ailleurs prochainement à l’affiche de la saison 10 de l’émission The Voice Kids, l’occasion pour elle de retrouver son ex-compagnon, Patrick Fiori. Le 25 janvier dernier, la célèbre artiste belge était invitée sur le plateau de Bonjour, la matinale de TF1. L’occasion pour elle de raconter
un souvenir avec la star de la pop Michael Jackson

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« J’ai rencontré Michael Jackson sur 42nd Street, le grand spectacle de Noël produit par Clive Davis et Liza Minnelli. Invitée à l’évènement, la chanteuse avait pris la décision d’interpréter l’un de ses plus grands tubes : Adagio.« J’ai eu l’honneur de chanter Adagio devant lui. En écoutant Adagio, il est monté sur scène, m’a pris dans ses bras » s’est-elle souvenue avec émotion face à Bruce Toussaint. « Je raconte rarement cette histoire car il y a une dimension de pudeur derrière cela. À partir d’une simple photo de ton album de classe, tu as réussi à te retrouver sur une scène aux États-Unis avec un moment aussi spécial. Ça a été l’un des moments les plus émouvants de ma vie ».

Lara Fabian fait un triste aveu 
Et si le talent de Lara Fabian est reconnu par les plus grands,
la chanteuse se désole d’avoir longtemps été torpillée dans les médias

. À l’occasion de la promotion de son nouveau single intitulé « Ta peine », co-écrit et cocomposé avec Slimane, la chanteuse s’est confiée au média belge Ciné-Télé-Revue.

Quand on lui demande si au cours de sa carrière, il y a eu des remarques, des mots qui ont pu la blesser sur le moment, elle répond : « J’ai envie de vous dire : pas un mot plus qu’un autre. J’en ai eu tellement ! ».

La mère de famille contre-attaque ensuite en affirmant : « Moi, j’ai subi un bashing médiatique sans précédent, je fais vraiment partie de ces survivants, comme Johnny, Aznavour ou Bruel, qui ont vécu la même chose que moi, et qui derrière ont su en faire trésors ». Et de conclure : « J’ai toujours rejeté la violence. Même si elle m’a traversée, je ne l’ai jamais gardée. On ne peut pas faire de la violence une force, mais en tout cas, j’en ai fait une expérience extraordinaire que j’ai totalement transformée ».
ES