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Divertissement

Anny Duperey flingue Judith Godrèche et apporte son soutien à Benoît Jacquot et Jacques Doillon : « Elle était consentante »

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Anny Duperey ose dire ce qu’elle pense. Quelques années 
après avoir défendu Gérard Depardieu

, l’actrice popularisée par la série Une famille formidable a accordé une interview à Nathalie Renoux sur RTL ce samedi 10 février 2024. Interrogée sur les accusations qui ciblent les cinéastes Benoît Jacquot et Jacques Doillon, et qui sont portées principalement par l’actrice 
Judith Godrèche

, la septuagénaire n’a pas été tendre à l’égard de cette dernière, arguant qu’elle ne pouvait qu’être « consentante » au motif d’être restée pendant plus de six ans avec le premier, de 26 ans son aîné.

Anny Duperey a dans un premier temps expliqué avoir du mal à se faire un avis sur les accusations de mœurs portées contre divers hommes du showbiz, au motif d’en avoir jamais été la cible : « J’ai beaucoup de mal à réagir à ça. Peut-être, j’ai eu la chance, j’étais quelqu’un, vu mon histoire personnelle avec la mort de mes parents, de survivante, personne se risquait à s’attaquer avec moi, je n’avais pas le profil de la victime. Donc, c’est vrai que je manque d’expérience personnelle de harcèlement ou de choses comme ça, pour prendre position ». La suite de son propos a de quoi heurter : pour Anny Duperey, Judith Godrèche n’a pu que « consentir » à la relation qu’elle a eue avec 
Benoît Jacquot

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, duquel elle s’est dit « sous emprise », et contre lequel elle vient de porter plainte pour « viols avec violences sur mineur de moins de quinze ans ».

Consciente de « (se) faire taper dessus », Anny Duperey a toutefois tenu à assumer ses opinions : « Je pense que c’est tout ça est extrêmement exagéré. Quand même, six ans avec un réalisateur, sous emprise, je veux bien, mais quand même consentante, non ? Je ne sais pas trop quoi penser de tout cela, mais je n’aime pas les chasses aux sorcières trop tardives comme ça » a-t-elle fustigé. Dans un second temps, Anny Duperey a souhaité faire un parallèle quelque peu bancal avec l’affaire Roman Polanski, et a tenu à défendre 
le cinéaste

, estimant que les accusations portées contre ce dernier « 50 ou 60 ans après » n’étaient pas audibles, au regard du temps écoulé.

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« Il a couché avec une fille de 15 ans il y a 60 ans ! »

« Admettons que certains hommes aient été effectivement des prédateurs, mais ils ont fait de belles œuvres, et j’aimerais pas qu’on condamne leurs œuvres en même temps que l’homme. Par exemple, Polanski. Ce serait absolument stupide, parce que Polanski a couché avec une fille de 15 ans il y a cinquante ou soixante ans, de condamner ses œuvres. On ne va pas condamner Le Pianiste, ce chef-d’œuvre, à cause des agissements personnels de son metteur en scène. Il y a une espèce de confusion entre tout ça qui me gêne un peu. Nuançons, quand même » a-t-elle conclu… Nul doute que ses propos vont vivement faire réagir Judith Godrèche, Anna Mouglalis ou encore Muriel Cousin, qui a récemment 
témoigné contre Gérard Miller

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, aux côtés d’une quarantaine d’autres plaignantes et victimes présumées.

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