Léa Salamé : son compagnon Raphaël Glucksmann bousculé par Apolline de Malherbe, le ton monte sur BFMTV

De 2001 à 2020, Jean-Jacques Bourdin a fait les beaux jours de la matinale sur BFMTV/RMC. En effet, le compagnon d’Anne Nivat a longtemps animé Bourdin Direct, une émission dans laquelle il a eu pour habitude de recevoir nombre de personnalités politiques et dont il n’a jamais hésité à bousculer au cours de ses interviews.

Depuis son éviction de la chaîne de
Marc-Olivier Fogiel

, c’est Apolline de Malherbe qui a repris le flambeau et celle-ci semble y avoir trouvé sa place. Aussi franche que son prédécesseur, la journaliste n’hésite pas non plus à « rentrer dans le lard » et bousculer ses invités. Quitte à leur poser des questions qu’ils n’apprécient pas. Et lorsqu’une réponse donnée ne la satisfait pas, la journaliste en remet une couche.

Les téléspectateurs de BFMTV/RMC en ont eu la preuve ce mardi 20 février 2024 lors du passage de Raphaël Glucksmann

chez Apolline de Malherbe, la tête de liste PS et
compagnon de Léa Salamé

a en effet été interrogé sur sa position au sujet de l’entrée de l’Ukraine dans l’Union Européenne. L’homme politique a indiqué être « pour » cette entrée. Néanmoins, une fois « qu’elle respectera les mêmes normes que les pays membres de l’Union européenne ». « Je trouve qu’il y a une contradiction », l’a alors coupé la journaliste.

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Raphaël Glucksmann recadré par Apolline de Malherbe

« Il y a une guerre sur le continent européen », a-t-il répondu avant de poursuivre : « peut-être que l’Europe, à la fin de l’année 2024, va se retrouver seule pour gérer cette guerre, parce que Donald Trump sera président des États-Unis ». Raphaël Glucksmann a continué

de donner ses arguments et a haussé le ton lorsqu’il a évoqué une éventuelle défaite de l’Ukraine dans les années à venir.

« Pas la peine de s’énerver », l’a alors sèchement recadré Apolline de Malherbe lorsque son invité a regretté le fait de s’être bien plus attardé sur « le poulet ukrainien que des subventions européennes ». « Mais c’est pas ça l’Europe ? Mais c’est pas pour ça que vous vous battez Raphaël Glucksmann ? Pourquoi vous êtes candidat ? Pour l’Europe ?« , lui a finalement demandé la journaliste pour se défendre. Une question à laquelle Raphaël Glucksmann a répondu par l’affirmative et qui a permis de reprendre un ton apaisé pour la suite de l’interview.

R.F