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« Star Academy » : « Il m’a demandé de lui embrasser le s*xe », nouveau récit glaçant de Yanis Marshall

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Yanis Marshall ne veut plus se taire. Après avoir étouffé pendant des années les faits qu’il lui impute, le danseur et 
ancien prof de la Star Academy

a décidé de rendre publiques les accusations de viols qu’il porte contre le chorégraphe Bruno Vandelli. Comme le relatent nos confrères du Parisien ce dimanche 25 février 2024, c’est en 2003 que Yanis Marshall, alors âgé de seulement treize ans, tape dans l’œil du juré de Popstars. Il le repère, et décide de lui donner des cours de de modern jazz. 
Vingt ans plus tard

, Yanis Marshall affirme que ces cours étaient malsains et emplis de gestes obscènes et inappropriés : « Il en profite pour le caresser. Devant les autres danseurs, il colle son s*xe dur derrière lui une fois, deux fois, puis à chaque leçon. Le garçon voudra dire non, mais aucun son ne sort. Bruno Vandelli réussit à l’attirer chez lui, et, selon le récit de Yanis Marshall, aujourd’hui âgé de 34 ans, le viole. Une longue relation d’emprise débute » relate le journal.

Auprès du Parisien, Yanis Marshall révèle en vouloir à tous ceux qui ont su, vu et tu : « Ce sont tous des pourritures. Mon combat est aujourd’hui contre Bruno. Mais si j’avais la force, ce serait contre tout le monde ». Sur Instagram, le danseur, qui se bat depuis de longues années 
contres de nombreux démons

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(alcoolisme, toxicomanie, trouble panique) qui lui ont coûté sa place à la Star Academy, s’en est de nouveau pris à Bruno Vandelli. Ce dimanche, l’ex-prof de la Star Ac a ciblé l’ex-juré de Popstars avec de nouvelles révélations aussi glaçantes que les précédentes : « Il me demandait de lui embrasser le s*xe avant de lui dire bonjour. Longtemps, j’ai pensé que c’était moi le sale, moi l’obsédé, moi la pute ». Des mots forts, posés sur des des maux qui restent, demeurent, indélébiles, indescriptibles.

Les paroles se libèrent, les prédateurs n’ont qu’à bien se tenir

Dans cette longue enquête, Le Parisien exhume tous les récents témoignages qui visent à libérer la parole des victimes, et à mettre en évidence tous les dérapages commis par des célébrités profitant de leur pouvoir. 
Judith Godrèche fait figure de proue

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, en portant haut et fort le combat des femmes victimes de prédateurs sexuels dans le milieu du cinéma. 
Aux César

ce vendredi 23 février 2024, l’actrice et ex-épouse de Dany Boon a livré un discours puissant et historique, au cours duquel elle a appelé les autres femmes victimes à se faire connaître, sans craindre les représailles professionnelles, médiatiques et financières qui pourraient en découler. D’autres personnalités ont aussi évoqué les faits qu’elles ont subis, comme la romancière 
Amélie Nothomb

, la journaliste 
Tristane Banon

, le comédien 
Aurélien Wiik

, l’actrice Sarah Grappin, l’animatrice 
Muriel Cousin

, et tant d’autres encore… Le #MeToo français ne fait que démarrer.

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