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Meurtre de Bastien, candidat des « 12 coups de midi » : « Ils m’ont tué, je suis à moitié morte », le cri du cœur de sa maman

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Il avait participé à l’émission « Les 12 coups de midi », et il a été fauché en pleine jeunesse. 
Bastien Payet, étudiant de 23 ans

est mort le 10 mars 2019, tabassé à mort, en pleine rue de Reims par trois hommes, alors qu’il rentrait chez lui. Tandis que les 3 suspects ont été remis en liberté, sa maman, 
soutenue par Jean-Luc Reichmann

a poussé un cri du cœur, ce 12 mars 2024.

« Que les agresseurs présumés soient en liberté, c’est incompréhensible ! »

Elle qui s’est exprimée sur CNews, dans l’émission de Jean-Marc Morandini a expliqué : « Depuis cinq ans, j’ai l’impression que Bastien est passé aux oubliettes. En ce moment, c’est une période difficile. Le 10 mars, c’est jamais facile« . Et de se souvenir du vendredi où elle a vu son fils pour la dernière fois debout, « puis la nuit d’horreur du vendredi au samedi, où il a été agressé. La nuit du samedi au dimanche, où il est mort dans mes bras », dit-elle.

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Frédérique a réagi à la décision de remettre en liberté les
3 hommes suspectés du meurtre de son fils

, et elle a estimé : « Aujourd’hui, j’aimerais que le procès ait lieu, j’aimerais qu’on se fasse entendre. J’aimerais pouvoir avancer dans ma vie, en ayant ce procès. En étant reconnue en tant que victime et pouvoir avancer dans mon travail de deuil ». Et d’ajouter :« Le fait que les agresseurs présumés soient en liberté, c’est incompréhensible ! On peut dire qu’on n’est pas d’accord avec ça. Ça fait cinq ans qu’on attend le jugement et, eux, ils ont leur petite vie tranquille. Ils sont dehors ; mon fils est enfermé au cimetière ».

« Ils m’ont tué. Je suis à moitié morte »

Si aujourd’hui, elle a expliqué
qu’elle croyait en la justice

, cette maman a avoué qu’elle avait « de moins en moins confiance », en attendant « que justice lui soit rendue ». Et d’avouer aussi son désespoir : « Ils m’ont tué. Je suis à moitié morte. J’ai perdu mon travail. Je suis en invalidité. Je n’étais plus capable d’exercer ma profession de sage-femme. Je suis handicapée. Ils ont pris ma santé, ils ont pris toute ma vie, mon unique enfant. Je suis à moitié morte ».

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F.A

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