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108 heures d affilée », Faustine Bollaert : son « frère », Laurent Karila, évoque le « s*xe utilisé comme une drogue

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Sept ans qu’il officie à ses côtés. En effet, depuis qu’elle anime Ça commence aujourd’hui chaque jour de la semaine sur France 2, Faustine Bollaert

est entourée d’une équipe composée de psychiatres, avocates, et des psychologues. Parmi eux figure l’emblématique Laurent Karila, psychiatre et addictologue.

Présenté comme son « frère » par l’animatrice, l’homme au physique facilement reconnaissable aide cette dernière à mieux comprendre et analyser les situations des invités de l’émission. Ce lundi 1er avril 2024, il a été invité dans le Buzz TV du Figaro

. Face à Sarah Lecoeuvre et Damien Canivez, l’auteur de On n’a qu’une vie, Docteur : addict ou pas ?, ou encore Addiction à la cocaïne, a été interrogé sur ses ouvrages.

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Des patients addicts au s*xe

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Mais notamment sur les conseils qu’il peut apporter au niveau du s*xe. L’occasion pour Sarah Lecoeuvre de poser une question bien précise à son invité après avoir repris un passage de l’un de ses livres : « Il y a quand même le p*rno, avec de la masturbation compulsive… alors moi j’ai été bluffée. Vous racontez que des patients peuvent se masturber jusqu’à 108 heures d’affilée ».

« Ouais j’ai eu ça », a confirmé le psychiatre avant de poursuivre : « C’est vrai, mais on est dans l’addiction sexuelle. Il n’y a plus de plaisir. Le s*xe est utilisé comme une drogue pour ne pas souffrir. Mais ces patients-là, ils souffrent. C’est-à-dire qu’ils consomment du s*xe comme s’ils consommaient de la cocaïne. Quand ils arrivent à l’org*sme, à l’éjaculation, à cette finalité sexuelle, eux derrière, ils sont dans la honte, la culpabilité, le désespoir ».

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Des thérapies existent pour les soigner

Pour tenter d’aider ses patients, Laurent Karila indique que des thérapies existent. Appelés « entretiens motivationnels », ces derniers permettent de changer le comportement d’un patient. « On va donc agir sur ses pensées qui induisent des comportements inadaptés. C’est-à-dire, le s*xe addict. Par exemple, il va avoir une super nouvelle, comme gagner de l’argent, il va se dire ‘ok je vais faire du s*xe’. Il va recevoir une mauvaise nouvelle, il va faire du s*xe. Il va être stressé par un truc, il va faire du s*xe aussi. Il l’utilise comme un traitement », a-t-il indiqué.

Des comportements auxquels Sarah Lecoeuvre et Damien Canivez n’auraient jamais songé.   

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