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« Vivre ou survivre ? » : Aude (L’amour est dans le pré) au plus mal, son cri d’alarme…

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La situation ne va pas en s’améliorant pour Aude, agricultrice phare de « L’amour est dans le pré ». Cette maman célibataire partage sa peine et sa colère sur les réseaux sociaux. Un coup de gueule bien senti qui pourrait donner suite à un grand changement dans son quotidien. Elle s’explique.

La colère gronde. Sur Instagram, Aude, agricultrice révélée lors de la treizième saison de L’amour est dans le pré en 2018, fait part de son mal-être à ses plus de 25 000 fidèles abonnés. Cette éleveuse de vaches laitières venue de Bretagne est sur le point de craquer face à une situation intenable. En story et en post, elle s’explique et pousse un coup de gueule.

C’est l’interview de Laetitia, une fermière qui a pris la décision de vendre son exploitation afin de pouvoir « commencer à vivre« , qui met en rogne la jolie Aude. Celle qui quitte le milieu de l’agriculture pointe des charges de travail trop élevées et donc un manque de revenus. Un témoignage qui parle à l’ex-participante au programme de dating de M6. « Quand tu vois un article comme ça sur une éleveuse de chèvres dont le fromage est primé… qui arrête et change de métier, c’est que tu sais que les éleveurs sont les esclaves de notre monde », regrette-t-elle.

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Et Aude ne s’arrête pas là. La maman de la petite Louanne (7 ans) et Raphaël (2 ans), né de ses amours avec son prétendant Christopher dans l’émission, partage l’avis de Laetitia. « C’est ce que beaucoup, dont moi, ressentent ! Continuer ou arrêter, vivre ou survivre ? Tout ça parce que Leclerc (certes très bon en com’!) et compagnie refusent de baisser leurs marges… Ne vous leurrez pas, le prix au consommateur va exploser, et nous éleveurs, avec, regrette-t-elle. Seuls les grandes surfaces vont exploser leurs bénéfices. Que ça soit les produits laitiers, les légumes (en conserve ou surgelés), la viande… La pénurie est amorcée, même si elle n’est pas encore visible dans les étals, et elle touchera le monde entier.« 

Les hashtags « esclaves » et « esclavage » traduisent alors l’humeur d’Aude. En story, elle s’agace une nouvelle fois face à un article indiquant que « la coopération laitière dénonce le climat des négocations sur les prix« . « Nous, agriculteurs, on est juste bons à crever« , écrit-elle avec un smiley énervé.

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Rappelons que le métier d’éleveuse de vaches laitières est loin d’être de tout repos. « Mes journées actuelles sont longues (5h20 réveil, à 23h coucher, 7 jours sur 7), la fatigue s’accumule, alors je prends chaque minute possible pour tenter de me reposer« , confiait-elle sur Instagram en avril 2021. Et à l’époque déjà, Aude évoquait l’idée d’une « nouvelle organisation dans [sa] vie personnelle et professionnelle« .

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