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Delphine Jubillar : la femme de son amant à nouveau accusée, « 24 textos effacés » !

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Cédric Jubillar continue de clamer son innocence dans l’affaire de la disparition de Delphine Jubillar. En interview pour Le Nouveau Détective, l’avocat de ce dernier est revenu sur les messages supprimés par la femme de l’amant de l’infirmière et il se demande pourquoi les enquêteurs n’ont pas plus creusés cette piste.

Saura-t-on un jour ce qui s’est réellement passé dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 du côté de Cagnac-les-mines ? Cette nuit-là, Delphine Jubillar a disparu pour ne plus jamais donner de nouvelles. Après des mois de recherches, les enquêteurs ont porté leurs soupçons sur Cédric Jubillar, le mari de l’infirmière de 33 ans. En prison depuis juin, ce dernier continue de nier les faits qui lui sont reprochés et par la voix de son avocat, Maître Jean-Baptiste Alary, il persiste et signe, il n’a pas tué sa femme.

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Dans une interview donnée au magazine Le Nouveau Détective, l’avocat revient notamment sur une piste qu’il estime intéressante et que les enquêteurs n’auraient pas assez explorée à son goût : celle de la femme de l’amant de Delphine Jubillar. « Pourquoi les portables de l’amant et de sa femme sont-ils restés éteints toute la nuit ? Pourquoi cette femme a-t-elle effacé 24 textos échangés avec Delphine ce soir-là pour n’en conserver que trois ? », s’interroge-t-il.

Le 3 décembre dernier, le journal La Dépêche avait publié des informations concernant cette partie de l’enquête. Selon eux, la femme de l’amant de Delphine aurait passé environ 145 appels téléphoniques vers un numéro inconnu entre le 14 décembre et le 16 décembre. Pour Maître Alary, cela devrait constituer les bases d’une piste solide pour les enquêteurs.

Les journalistes du Parisien avaient finalement eu le fin mot de l’histoire concernant ces 145 appels… qui n’en étaient pas. Les analyses faites sur le téléphone de cette femme révélaient non pas 145 appels, mais « 145 consommations de données internet » entre le 14 et le 16 décembre. Ce terme décrit « tout type d’action qui sollicite sa connexion Internet : consultation d’une boîte mail, visionnage d’une vidéo, envoi ou réception de messages écrits, conversations orales en passant par des messageries cryptées comme WhatsApp, Messenger ou Snapchat par exemple, etc... ».

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De son côté, l’avocat essaye de faire sortir Cédric Jubillar de prison, mais pour la troisième fois sa demande de mise en liberté a été rejetée. « J’en prends acte (…). A l’issue de l’audition du 11 février, nous formulerons une nouvelle demande de mise en liberté », a répondu Me Alary.

Cédric Jubillar reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire.

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