Brad Pitt à Paris, presque incognito : une ministre française sous le charme

En termes d’art, Paris est une pépite. Musées ou monuments, la capitale regorge de lieux empreints d’histoire et de culture, attirant chaque jour des milliers de touristes. Ce lundi 14 février, Brad Pitt était l’un d’entre eux. L’acteur de 58 ans, très attiré par l’univers de l’art, a profité de sa venue à Paris pour visiter l’exposition Charles Ray du Centre Pompidou. S’il n’a pas été reconnu par le public, Roselyne Bachelot, présente ce jour-là, a eu l’oeil alors même que l’ex-mari d’Angelina Jolie portait un masque ! La ministre de la Culture a donc débuté une discussion avec l’Américain en prenant évidemment soin d’immortaliser cette rencontre improbable. « Et au détour d’une statue, Brad Pitt ! » écrivait-elle fièrement sur son compte Instagram en publiant la fameuse photo. Comme quoi, si faire partie d’un gouvernement expose à de nombreuses critiques, surtout en pleine pandémie de Covid-19, ce statut présente aussi de sacrés avantages.

Quelques heures avant, Roselyne Bachelot avait un rendez-vous particulier avec la chanteuse Jenifer : « J’ai eu la joie de remettre aujourd’hui les insignes de chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres à Jenifer ! Cette distinction vient saluer 20 ans de carrière et une immense contribution au rayonnement de la chanson française dans le monde. Ce soir, le ministère de la Culture a résonné de vos mots touchants, plein d’émotion et de reconnaissance pour votre public et ceux qui accompagnent fidèlement votre carrière chère Jenifer. » C’est ainsi que Roselyne Bachelot allonge chaque jour un peu plus la longue liste des stars qu’elle a eu l’honneur de croiser.

En 2012, Roselyne Bachelot avait pris la pose au côté d’Iggy Pop. L’année suivante, elle avait accepté, à la demande de Joyce Jonathan, de figurer dans l’un de ses clips. S’il y a une star internationale que Roselyne Bachelot a toujours refusé de rencontrer en revanche, c’est Madonna. En 2015, la chroniqueuse du Grand 8 avait expliqué la raison de ce choix catégorique : la chanteuse était adepte de la Kabbale, souvent considérée comme un mouvement sectaire. Elle n’en fait depuis plus partie. A quand le selfie ?