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Delphine Jubillar : Des traces de sang relancent l’enquête, des empreintes digitales recherchées

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Depuis la disparition de Delphine Jubillar dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Canac-Les-Mines, toutes les pistes semblent peu à peu s’effondrer. Toutes sauf une, les mystérieuses traces de sang retrouvées sur la couette où l’infirmière avait l’habitude de dormir. Les magistrates ont demandé une nouvelle analyse poussée de ces traces…

Dans l’affaire concernant la disparition de Delphine Jubillar, le mystère des traces de sang retrouvées sur la couette de l’infirmière d’Albi continuent de causer de nombreuses interrogations chez les enquêteurs. D’ailleurs, selon Le Parisien de ce 12 mars, les deux juges d’instruction chargées du dossier – Audrey Assemat et Coralyne Chartier – ont ordonné le 23 février dernier de faire faire une nouvelle expertise sur ces traces « aux fins de recherche de traces biologiques« .

Pour rappel, la première expertise de cette housse de couette blanche à rayures bleues avait mis en évidence la présence d’une dizaine de traces de sang. Les tests de détection de sang humain s’étaient par la suite avérés négatifs. D’autres tests avaient été effectués sur une couette blanche qui avaient permis de détecter six traces de sang. Celles-ci avaient été également testées négativement au test de recherche du sang humain.

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Troublés par ces résultats, les enquêteurs avaient alors pensé qu’il s’agissait de potentielles traces laissées par les deux chiens du couple, qui possède un mâle et une femelle de race Shar Pei. Mais les scientifiques doutent toujours de ces résultats et préfèrent ne privilégier aucune hypothèse. De plus, ces derniers avaient précisé que « leurs tests de détection peuvent ne pas être significatifs compte tenu du fait que la couette et la housse de couette ont été lavées avant d’être saisies par les enquêteurs« .

Des explications contradictoires

En effet, à l’arrivée des gendarmes le 16 décembre 2020 à 4h50 du matin, Cédric Jubillar venait de lancer une machine pour laver cette couette. Appelé à s’expliquer sur les raisons qui l’ont poussé à lancer une machine en plein milieu de la nuit alors qu’il venait de constater la disparition de son épouse, le peintre-plaquiste de 34 ans -actuellement incarcéré à la prison de Toulouse-Seysses – s’était emmêlé les pinceaux prétextant d’abord qu’il était en train d’étendre sa machine au moment de l’arrivée des gendarmes.

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Il était ensuite revenu sur ses propos et avait affirmé avoir lavé la couette car l’un de ses deux Shar Pei venait d’uriner dessus. En décembre 2021, il niait avoir lancé la machine le matin de la disparition de Delphine Jubillar et expliquait cette fois-ci l’avoir mise à laver quelques jours avant avant de l’oublier dans le tambour.

Visiblement pas très convaincues par les arguments de l’artisan Tarnais, les magistrates ont donc demandé une nouvelle analyse de ces traces ainsi qu’un relevé des empreintes génétiques associées afin de les comparer avec les profils ADN de Cédric et Delphine Jubillar. Ces résultats seront connus vers la mi-avril selon Le Parisien.

Cédric Jubillar reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement définitif de cette affaire.

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