Connect with us

People

Surya Bonaly exilée aux États-Unis pour le travail : la patineuse gagne bien mieux sa vie qu’en France !

Published

on

Après une belle carrière dans le patinage, l’ancienne championne Surya Bonaly a décidé de s’installer aux États-Unis où elle réside depuis de nombreuses années. Installée à Las Vegas, elle donne des cours très rémunérateurs, bien plus que ce qu’elle pourrait gagner en France, explique-t-elle en interview pour Le Parisien.

C’est l’une des patineuses françaises les plus douées de sa génération et à 48 ans aujourd’hui, Surya Bonaly possède l’un des palmarès les plus impressionnants du patinage français. Championne de France à 9 reprises, 5 fois championne d’Europe, la native de Nice a eu une carrière d’exception. Rapidement devenue très populaire en France, elle a décidé de quitter son pays de naissance pour aller s’installer aux États-Unis à la fin de sa carrière. Devenue citoyenne américaine en 2004, elle est installée à Las Vegas avec son fiancé, Peter Biver.

De passage en France ​​en tant que marraine des Mondiaux de patinage artistique, Surya Bonaly a accordé une interview au Parisien dans laquelle elle évoque sa vie de l’autre côté de l’Atlantique. Elle explique notamment qu’elle est désormais coach pour de jeunes apprentis patineurs, une activité visiblement très rémunératrice si l’on en croit le quotidien puisque chaque heure de cours de l’ancienne championne est facturée 90 dollars (soit environ 82 € de l’heure) ! Alors quand on lui demande si elle envisage de revenir travailler en France, la réponse est assez claire : « Je suis open pour tout, mais aux États-Unis, le coaching c’est du privé, donc on est payé à la leçon. On a moins de sécurité mais si on travaille bien, on peut bien gagner notre vie. En France, c’est plus difficile car on est payé au mois et basta ».

En France, il y a une procédure qui est longue et difficile. Et après il faut encore trouver une place…

Jouissant d’un niveau de vie très confortable aux USA, Surya Bonaly ne s’imagine pas vraiment rentrer dans son pays natal, mais l’argent n’est visiblement pas le seul frein à un retour. « Je vais où on me propose, où il y a de l’argent, de la demande. Aux États-Unis, on passe un test chaque année pour être prof de patinage, qu’on soit champion ou pas on peut entraîner. Après, tout dépend du niveau technique qu’on apporte aux clubs ou aux élèves. En France, il y a une procédure qui est longue et difficile. Et après il faut encore trouver une place… », explique-t-elle, un brin découragée. Heureuse de sa vie à l’étranger, Surya Bonaly ne compte décidément pas s’installer en France de si tôt, comme elle l’explique très bien en interview.

Lire Aussi  Clotilde Courau, sa fille Vittoria a 18 ans : robe fendue, tenue légère et look rock'n'roll... la princesse détonne

Retrouvez l’interview de Surya Bonaly en intégralité sur le site du Parisien.

Á La Une