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Vanessa Paradis sans filtre sur ses débuts « violents » et ses mauvaises expériences dans le RER

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Vanessa Paradis, qui s’est fait connaître du grand public avec le titre Joe le taxi en 1987, n’a pas oublié sa soudaine célébrité et les conséquences sur sa vie quotidienne alors qu’elle n’avait que 14 ans.

Vanessa Paradis était l’une des têtes d’affiches du documentaire Haut les filles diffusé sur Arte jeudi 14 juillet à l’occasion de la fête nationale. La chanteuse de 49 ans est revenue sur ses débuts en tant que chanteuse : « J’étais très jeune. J’avais une voix de dessin animé. Une voix tellement enfantine », a reconnu la compagne de Samuel Benchetrit. L’occasion pour la maman de Jack et Lily-Rose Depp de revenir sur ses débuts violents.

Vanessa Paradis a commencé sa carrière lorsqu’elle a participé à l’émission L’Ecole des fans présentée par Jacques Martin en 1981. La jeune fille de 8 ans reprenait alors le titre Émilie Jolie. Mais c’est en 1987 que Vanessa Paradis a connu un succès fulgurant grâce au titre Joe le taxi et la chanteuse n’a rien oublié de cette période : « Les débuts étaient très violents, a-t-elle exprimé dans le documentaire Haut les filles. J’avais 14 ans. À 14 ans ça ne va pas bien pour personne. On est tous en train de se demander qui on est, ce qu’on va devenir et ce qui est assez bien. J’ai commencé ce métier par un très très gros succès (Joe le taxi) et puis, comme toujours, quand quelque-chose a du succès, c’est l’effet boule de neige. On en fait beaucoup, on vous voit beaucoup, on vous entend beaucoup. Puis moi, j’étais tellement intimidée. Je ne voulais pas avoir l’air d’être timide, je voulais être sûre de moi. Du coup, je n’avais pas l’air sûre de moi, j’avais l’air prétentieuse. Donc je n’ai pas aidé à adoucir ce phénomène. C’était horrible. »

« Les gens me regardaient comme si j’étais un animal en cage »

Alors jeune lycéenne, Vanessa Paradis s’est également souvenue des lourdes conséquences de sa notoriété sur sa vie quotidienne : « J’allais à l’école en banlieue. Je prenais le RER le matin. Les gens me regardaient comme si j’étais un animal en cage et ne se passaient d’aucuns commentaires à voix haute à côté de moi. On a l’impression d’être un peu un objet. J’étais une enfant et les commentaires étaient monstrueux. On m’insultait, on me traitait de tous les noms d’oiseaux. On m’attaquait sur mon physique, sur ma musique, sur mon manque de talent… Vraiment des sales noms d’oiseaux ! »

Heureusement, Vanessa Paradis a pu compter sur le soutien indéfectible de ses proches et en particulier ses parents : « Ma grande chance c’est d’avoir les parents que j’ai. Des parents extraordinaires qui m’ont tellement entourée et donné beaucoup de liberté. »

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