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Olivier Marchal rongé par ses démons : « L’alcool n’est jamais loin de moi… »

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Le 4 novembre 2022, Olivier Marchal présente son nouveau film « Overdose » via la plateforme Amazon Prime. Le réalisateur admet, toutefois, que certaines journées de travail ont été difficiles.

L’acting, c’est une affaire de famille. Le vendredi 4 novembre 2022, les abonnés Amazon Prime découvrent le film Overdose, nouveau projet d’Olivier Marchal dans lequel on retrouve sa fille cadette Zoé, 24 ans. Dans ce thriller inédit, la jeune femme incarne une policière, ce qui n’est pas sans rappeler le passé de son père, qui était devenu policier dans les années 1980 avant de se reconvertir dans le cinéma. Ce n’est pas la première fois, pour autant, qu’on l’aperçoit sur l’écran. Elle avait déjà séduit le public dans plusieurs séries françaises, dont Disparue, Section Zéro ou Le temps est assassin.

Jouer n’a rien de nouveau pour Zoé Marchall qui faisait déjà de la figuration à l’âge de 5 ans. Si son père l’a poussée à poursuivre ses études, les sirènes des plateaux de tournage ont fini par avoir raison d’elle. « Je l’avais déjà dirigée, rappelle le réalisateur dans les colonnes du magazine Paris Match. Puis j’ai observé ce dont elle était capable dans d’autres films que les miens. Je sais qu’il est toujours très mal vu, dans ce monde revanchard, de faire travailler sa famille. Il m’est arrivé de lui conseiller de s’inscrire en tant que Zoé M. aux castings qu’elle passait. Et de dire son nom quand elle était prise. »

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Je ne picole jamais au boulot, jamais dans la journée

Elle signe de son vrai nom sa participation au film Overdose. Impossible de ne pas remercier ses parents, qui lui ont transmis cette passion chacun à sa manière. Catherine Marchal Ici tout commence a poussé Zoé à aimer le théâtre, Olivier Marchal lui a donné le goût de l’écriture et de la mise en scène. Si elle a beaucoup puisé en eux pour se construire en tant qu’adulte, papa et maman ont, de leurs côtés, aussi trouvé un nouveau sens à l’accueillant en 1998.

« Ma vie de famille m’a équilibré, explique Olivier Marchal. M’empêcher de céder aux démons, c’était impossible même si cela a limité la casse. Je me suis toujours bien occupé de mes enfants, le dialogue entre nous n’a jamais été rompu, au contraire. Les démons ? J’ai commencé à partir en vrille à 15 ans. » Quand il évoque ces tentations difficiles, il pense évidemment à l’alcool, qui n’a « jamais été loin » de lui. « Je ne picole jamais au boulot, jamais dans la journée, assure-t-il. Cela peut m’apaiser le soir. Je suis capable de me coucher à 4 heures en ayant pas mal bu et me lever deux heures plus tard pour travailler. Pour l’instant, la machine tient. Mais peut-être que j’attends ça, que les fils se touchent... »

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Retrouvez l’interview intégrale d’Olivier Marchal dans le magazine Paris Match n° 3835 du 3 novembre 2022.

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