Chris Marques : « démuni », le juge de « Danse avec les stars » évoque cette « lourde maladie » dont il est atteint et qu’aucun traitement ne peut guérir

Une banane légendaire, que ce soit sur la tête ou en guise de sourire, et pourtant une « lourde maladie » qui ne l’empêche pas toutefois pas d’être heureux aujourd’hui. En effet, lors de son passage chez Isabelle Morizet sur Europe 1, Chris Marques a surpris et évoqué une maladie dont il est atteint depuis son plus jeune âge. Le juge de « Danse avec les stars », qui a eu une vive altercation avec Anthony Colette, a été diagnostiqué alors qu’il n’avait que 23 ans.

« J’ai contracté cette maladie et l’une des premières décisions que nous avons prises, avec mon épouse, c’est de ne pas en parler (…) Nous avons décidé de garder cela pour nous, car nous ne voulions pas que le monde décide de notre destin à notre place », se souvient-il sur Europe 1, avant d’expliquer ce choix de rester silencieux : « Tant que cette information était privée, nous pouvions encore décider de notre carrière« . Mais de quoi souffre celui qui juge David Ginola comme une personne au « boulard énorme » ?

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Chris Marques malade, mais pas abattu

Cette maladie, c’est l’encéphalomyélite myalgique. Il s’agit d’une affection chronique connue auparavant sous le nom de syndrome de fatigue chronique, comme le notent nos confrères de Télé 7 Jours. « Je n’aime pas utiliser cette terminologie, car cela donne l’impression que c’est juste de la fatigue. C’est loin d’être que ça », précise-t-il. En effet, selon les dires du juge qui pourrait devoir se passer de François Alu la saison prochaine, les douleurs pouvaient « durer des semaines ».

« J’étais également atteint de fièvre, cela pouvait aller jusqu’aux convulsions. Mon état mental n’était pas le même. J’étais incapable de réfléchir aussi rapidement. Mes heures utiles par jour se limitaient à deux, peut-être trois heures », confie également Chris Marques. Le plus terrible ? Le fait qu’aucun traitement ne puisse le soigner. Heureusement, il a pu rencontrer un coach, comme il le décrit, qui lui a réappris à gérer son corps et à « contrôler [son] rythme cardiaque, à arrêter certains cycles de pensée ». Depuis, il semble y être parvenu.

R.F