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Divertissement

Michel Drucker clashé par un auditeur de Pascal Praud : il demande à intervenir et explique son rétropédalage

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La retraite, pour Michel Drucker

, ce n’est plus d’actualité. Et sur le plateau de Pascal Praud, dans « Pascal Praud et vous« , ce 3 janvier 2024, l’annonce a fait des mécontents. Et notamment une auditrice qui a souhaité que les animateurs comme celui du service public, mais aussi Jean-Pierre Foucault laissent leurs places aux jeunes.

« Je ne suis pas près de m’arrêter ! »

Sur Europe 1, ce mercredi, Pascal Praud a défendu : « la retraite elle est pour ceux qui veulent », « ce n’est pas une obligation, c’est une possibilité », avant de citer les noms de Pierre Arditi (79 ans) et Judith Magre (97 ans), toujours en activité. A l’antenne, Michel Drucker a ensuite réagi et déclaré : « Il y a encore 2 ou 3 ans, je posais la question (…) et depuis que j’ai retrouvé les chemins du studio, je peux vous dire que je ne suis pas près de m’arrêter ! »

Et pour cause, explique
ce grand miraculé de 81 ans

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. Après son « très grave problème de santé« , il assure : « c’est la télé qui m’a soigné ! » Et d’ajouter : « C’est l’envie de refaire mon métier qui m’a dopé, qui m’a redonné le tonus (…) c’est ce métier qui me maintient en vie, tout simplement ». Et il revient de loin, puisque Michel Drucker raconte : « pendant les 2 ans où j’étais à l’hôpital, j’ai drôlement gambergé, j’étais au creux de la vague. Et je me disais ‘mon Dieu, je ne referai peut-être plus jamais ce métier' ».

Aujourd’hui, Michel Drucker
poursuit sa carrière grâce à son patron et à son public

, ajoute-t-il aussi. « Moi, tant que le public sera d’une grande fidélité et il l’est depuis si longtemps. Tant que mes patrons voudront bien de moi, je continuerais à faire ce métier« . Il cite ainsi : « des gens qui vous disent tous les jours dans la rue lorsque vous les croisez, ‘on vous aime beaucoup, on a grandi avec vous’. Des papys me disent ‘je vous écoutais quand vous commentiez la coupe du monde de foot’, d’autres me disent ‘moi je suis né avec Champs Elysées’, d’autres me disent ‘moi je suis né avec Vivement dimanche’. Ça, ce sont des messages importants dans la vie d’un homme publique ».

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« Arrêter notre métier c’est la mort »

Un besoin mutuel, puisque Michel Drucker

 le confesse : « Il a raison Pierre Arditi de dire qu’arrêter notre métier c’est la mort. Bien sûr, la passion ne fatigue pas (…) Moi j’aime ce métier par-dessus tout, je le fais depuis 60 ans, mes muscles, mon mental, mon métabolisme, est programmé pour ça. Je suis fait pour travailler et travailler encore ». 

F.A

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