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Divertissement

Paul El Kharrat au plus mal : l’ex-champion des “12 coups de midi” évoque ses “envies de meurtres”

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C’est en 2019 que les téléspectateurs ont fait sa connaissance. Face à Jean-Luc Reichmann, un jeune homme aux lunettes se présente dans les 12 coups de midi pour déballer son immense culture générale et sa facilité à répondre aux questions les plus ardues. Arrivé en avril 2019 dans le jeu de TF1, Paul El Kharrat

va
y rester pendant 153 jours

et empocher la somme de 691 522 euros de gains et de cadeaux.

Depuis son élimination en 2020, le génie n’est pas tombé aux oubliettes, loin de là. Il officie régulièrement dans Les Grosses Têtes sur RTL
avec Laurent Ruquier

, écrit des livres, et participe même à de nombreux télécrochets comme, dernièrement, les Traîtres sur M6. Mais cela n’enlève rien au trouble dont il a été diagnostiqué à l’âge de 16 ans. En effet, Paul El Kharrat a été diagnostiqué autiste Asperger. Et ce trouble rend son quotidien très compliqué.

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A voir également : « Je n’avais pas trop le choix » : Paul El Kharrat corrige Jean-Luc Reichmann dès son retour sur le plateau des « 12 coups de midi » !

Paul El Kharrat souffre toujours autant de son trouble

Dans un entretien accordé à nos confrères de Closer

, à paraître ce vendredi 12 janvier 2024, il a d’ailleurs fait d’inquiétantes révélations sur son état de santé. « Ma tête n’arrête jamais de penser. C’est d’une grande violence », a-t-il d’abord confié avant de promettre : « J’essaie néanmoins de la supporter vu que je la subis avec beaucoup plus d’acuité ». Malgré tout, étant « jamais totalement prêt à cette violence » qui est en lui, il est « perpétuellement surpris par son degré infini ».

Nos confrères ont ensuite souhaité savoir de quelle façon sa violence évoquée se manifeste au quotidien. L’occasion pour Paul El Kharrat de pas être des plus rassurants… « Ce sont des envies de violence physiques, psychiques. Des envies de meurtres envers les personnes qui sont responsables de près ou de loin de mes tourments, de mes malheurs », lâche-t-il en toute franchise avant de regretter : « Je ne me suis jamais senti compris ». C’est pourquoi, il ressent le besoin de s’exprimer dans les médias. Afin que « les gens puissent [l] e découvrir. » « Après, libre à chacun d’être dans une interprétation compréhensive et intelligente, sans jamais tomber dans le pathos excessif », a-t-il conclu.

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R.F

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