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Divertissement

Rima Abdul Malak : dans son discours d’adieu, elle a évoqué une « malédiction », mais de quoi parlait-elle ?

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Désavouée publiquement sur le dossier de la
Légion d’honneur de Gérard Depardieu

, par le président de la République, Emmanuel Macron, en décembre dernier, Rima Abdul Malak a finalement quitté le gouvernement ce 12 janvier 2024. C’est
Rachida Dati qui la remplace

, à la rue de Valois. Et lors de la passation de pouvoir, ce vendredi, la ministre de la Culture sortante n’a pas caché sa déception.

Malédiction au ministère de la Culture

Face aux journalistes et à la
maire du 7ème arrondissement

, elle a en effet expliqué : « Je dois vous faire un aveu. J’espérais parvenir à déjouer la malédiction qui s’est abattue sur le ministère de la Culture depuis plus de dix ans. Qui fait que les ministres restent moins de deux ans à leur poste. Mais cette malédiction est décidément tenace« . On pense bien sur à Roselyne Bachelot, Franck Riester, Françoise Nyssen…

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Et d’ajouter : « J’ai plusieurs regrets en vous quittant », en listant son programme pour la diversité, son plan pour les métiers d’arts, sa loi sur les restitutions des biens culturels usurpés, ainsi que son combat pour les droits d’auteur et la liberté de la presse. Rima Abdul Malak aurait également voulu « poursuivre le travail sur les projets qui la tiennent à cœur » dit-elle, comme la maison du dessin de presse, l’Institut de la France et de l’Algérie, la maison des mondes africains, liste-t-elle.

Elle était prête pour les César

Elle ironise également qu’elle avait déjà « écrit un texte en alexandrin pour répondre à une éventuelle interpellation à la prochaine cérémonie des Molières ou des Césars », qui auront lieu en avril et en février prochain… Dommage !

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Tandis que Rachida Dati, fervente opposante à la maire de Paris, Anne Hidalgo, a récemment alerté (avec Stéphane Bern) sur le sort réservé du pavillon des sources de Marie Curie, Rima Abdul Malak a par ailleurs encouragé sa « chère Rachida », à poursuivre son combat pour le patrimoine. Elle qui s’est déjà lancée
dans la course à l’Hôtel de Ville

, pour 2026, a deux ans, pile poil, pour convaincre. Pas de quoi briser la malédiction…

F.A

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