« J’en ai fait mon deuil » : les mots difficiles de Christophe Dechavanne sur son unique fils, Paul-Henri

Visage emblématique du paysage audiovisuel français depuis de très nombreuses années, 
Christophe Dechavanne

a souhaité se livrer comme jamais sur sa vie personnelle par le biais d’un ouvrage autobiographique. Un livre intitulé Sans transition sorti aux éditions Flammarion ce mercredi 24 janvier 2024, dans lequel le second de 
Léa Salamé

dans Quelle époque ! s’est confié comme rarement sur sa vie de famille et notamment sur sa paternité.

« Je l’ai élevée seul depuis ses 8 ans. J’en ai pris soin avec la plus grande des attentions, la protégeant des autres et parfois d’elle-même « , a écrit Christophe Dechavanne à propos de sa benjamine Ninon. Et d’ajouter, toujours à propos de sa petite dernière : « Treize ans de bataille juridique, jusqu’à la décision d’un juge pour enfant où j’ai obtenu sa garde exclusive. Un jour, lors d’un ‘Vivement dimanche’, l’émission de Michel Drucker dont j’étais l’invité, elle a confié en substance que je lui avais sauvé la vie. Ses propos m’ont ému aux larmes ».

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« Sinon, je crève »

Une relation particulière auquel l’homme de télévision tient par-dessus tout, néanmoins, ce dernier a également tenu à préciser qu’il n’avait pas les mêmes rapports avec son unique fils Paul-Henri  qu’il surnomme affectueusement « Paulo » ou encore « Petit Paul ». 

Très proche de ses deux filles Pauline et Ninon, le cinquantenaire a en effet confié dans son ouvrage que son fils né en 1990 avait souhaité s’éloigner de son paternel.

« La vie nous a éloignés depuis maintenant une décennie. Plus un mot. Ses sœurs non plus. D’une certaine manière, j’en ai fait mon deuil, de petit Paul. Obligé. Sinon, je crève. Mes potes me disent qu’il reviendra », peut-on lire dans Sans transition. Des confidences poignantes.

L.Z.