Tu sais où tu peux te la mettre » : interpellé par Léa Salamé, Christophe Dechavanne lui répond sans détour dans « Télématin

En pleine promotion de son ouvrage autobiographique intitulé Sans transition,Christophe Dechavanne

 était, ce mercredi 7 février 2024, l’invité de
Thomas Sotto et Marie Portolano

sur le plateau de Télématin

. À peine arrivé, le célèbre animateur a eu droit à une petite surprise : la diffusion d’une vidéo enregistrée par
Léa Salamé

dans laquelle la journaliste lui pose une question très personnelle.

« J’espère que tu vas bien et que tu n’étais pas à la bourre ce matin chez Thomas et Marie parce que je sais que tu n’es pas du matin. J’ai juste une toute petite question à te poser. Toi qui es un zébulon, qui a toujours envie d’aller voir ailleurs si tu y es, si l’herbe est plus verte ailleurs, je voulais juste savoir si ça t’arrive parfois d’être pleinement heureux, 100 % heureux là où tu es ? », a-t-elle lancé. Ce à quoi le principal intéressé a répondu : « Ce genre de question du matin, tu sais où tu peux te la mettre !« 

« Ce genre de question du matin, tu sais où tu peux te la mettre ! » Christophe Dechavanne répond à sa boss, @LeaSalame. #Telematin@CDechavannepic.twitter.com/y9AlC6a0lA

— Telematin (@telematin) February 7, 2024

Visiblement gêné d’évoquer ainsi son propre bonheur, Christophe Dechavanne a tout de même joué la carte de la sincérité. « À 9 heures du matin, vous dire s’il m’arrive d’être pleinement heureux, sûrement. Il m’arrive sûrement, parfois, d’être pleinement heureux. Maintenant si on faisait ce métier en étant tous pleinement heureux ça se saurait. J’ai été élevé par quelqu’un qui n’était pas non plus un pétard à mèche de bonheur en permanence », a-t-il confié.

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Christophe Dechavanne marqué par le décès de son père

Il faut dire que l’ancien acolyte de Victoria Silvstedt n’a pas eu une enfance facile. Le 24 janvier dernier, c’est sur le plateau de C à vous qu’il se confiait sur
le drame de sa vie

 : la perte de son père, décédé en 1984 à l’âge de 54 ans. « Il était alcoolo-dépendant, et c’est très triste cette maladie », avait-il révélé avant d’ajouter : « Quand j’étais jeune avec des copains dans la rue et qu’on voyait un type qui titubait, ils disaient : ‘Regarde, il est bourré, c’est marrant’. Eh bien non. D’ailleurs, je dis qu’il ne faut pas dire alcoolique si on va parler à quelqu’un parce que c’est blessant. » De bouleversantes confidences.

V.B